Commentmettre du thermocollant sur un tissu ? d’appliquer un fer chaud sec (sans vapeur) de repasser par petits coups : 5 à 6 fois pendant 8 secondes pour les tissus 26sept. 2014 - Comment enlever du chewing gum d'un tissu. Zut ! Vous avez du chewing-gum partout sur vos vêtements ! Vous avez enlevé tout ce que vous pouviez, mais ce sacré chewing-gum est toujours là. Au lieu de râler et de piquer une crise, pourquoi Àl’aide d’une brosse à dents que vous n’utilisez plus, appliquez la gomme sur la zone. 3. Tamponnez-le avec un pinceau pour éviter d’abîmer les morceaux et essayez de faire décoller la gomme par le haut.Utilisez un couteau émoussé ou une spatule pour aider à enlever la gomme et enlever le chewing-gum des vêtements.. 4 Lechewing-gum se colle alors sur le bout de carton et se détache de votre jean préféré. Utiliser de la glace. Placez votre jean au congélateur pour le refroidir. Grattez le chewing-gum avec une spatule en bois ou le dos d’une cuillère car la tache devient solide. Vous pouvez commencer à enlever la tache. Le vinaigre chaud Commentenlever rapidement les taches de curry sur le tapis. Méthode 1 : Comment enlever le chewing-gum d'un tapis ou d'un canapé avec de la glace . Tu auras besoin de: Un glaçon ou deux; Une serviette en papier solide; Une cuillère en métal ou un couteau émoussé (comme un couteau à beurre) Frottezun chiffon sur la zone du corps où le chewing-gum est attaché, en essayant d'éliminer toute saleté visible. Tout ce dont vous avez besoin est un seau rempli d'eau chaude et de liquide vaisselle. Vaporisez une dose de détergent dans 500 ml d'eau. Mouillez un chiffon dans le seau, puis essuyez-le sur la carrosserie pour éliminer . Télécharger l'article Télécharger l'article Cela est arrivé à tout le monde au moins une fois marcher sur un vieux chewing-gum. L'expérience est peu agréable, d'autant plus si les victimes sont des chaussures neuves. Il existe fort heureusement une panoplie d'astuces destinées à décoller le chewing-gum collé à la semelle. Suivez le guide pour sauver vos chaussures ! 1Déposez la chaussure dans un sac spécial congélation. Déposez la chaussure victime du chewing-gum dans un sac spécialement destiné à la congélation. Peu importe si un morceau de la chaussure en question dépasse un peu du sac, l'essentiel étant que le chewing-gum colle également contre l'intérieur du sac, contre le plastique. 2Faites adhérer le plastique contre le chewing-gum en frottant dessus. Pour plus d'adhérence, appuyez le plastique contre le chewing-gum pendant quelques secondes. L'idée est que le chewing-gum en question reste collé pendant le passage au congélateur. Autrement, l'astuce ne donnera aucun résultat. 3Mettez la chaussure au congélateur. Faites suffisamment de place dans votre congélateur pour pouvoir y déposer votre chaussure. Si la chaussure dépasse du sac, faites en sorte que la partie exposée n'entre pas en contact avec les aliments autour. Vous éviterez ainsi de propager les microbes. 4Laissez la chaussure ainsi pendant une à deux heures dans le congélateur. Dans le meilleur des cas, le chewing-gum congèlera et restera collé au plastique. Une fois ce temps écoulé, retirez la chaussure du congélateur. 5Ôtez la chaussure du sac de congélation. En temps normal, le chewing-gum doit rester collé au plastique votre chaussure en est débarrassée [1] ! 1Remplissez un grand sac plastique de cubes de glaçon. Déposez la chaussure sur ce sac rempli de glaçons. Évitez tout contact direct avec l'intérieur et la surface de la chaussure, au risque de la détremper. 2Gardez les glaçons intacts. Pour éviter que la glace fonde trop rapidement, enfermez là dans un sac de congélation équipé d'une fermeture coulissante. 3Appuyez fermement le sachet de glaçons contre le chewing-gum, jusqu'à ce qu'il durcisse. Vous arriverez à le décoller plus facilement une fois qu'il aura durci. L'opération peut prendre un peu de temps, aussi, faites preuve de patience ! 4Lorsque le chewing-gum a bien durci, grattez pour le décoller de la semelle. Aidez-vous d'un couteau à bout rond. Évitez les mouvements brusques pour ne pas vous blesser. 1Vaporisez du WD-40 sur le chewing-gum. Achetez une bombe d'huile pénétrante de la marque WD-40 disponible en magasin de bricolage. Vaporisez le produit sur le chewing-gum et tout autour. Laissez agir pendant quelques minutes, afin que le produit fasse effet et décolle le chewing-gum. 2Frottez le chewing-gum. Frottez le chewing-gum collé à votre semelle en vous aidant d'une serviette en papier, d'un torchon ou de toute autre pièce de tissu vous ne devriez pas avoir trop de mal. Au cas échéant, recommencez le traitement au WD-40 comme indiqué ci-dessus. 3Nettoyez la semelle de votre chaussure. Une fois le chewing-gum éliminé, débarrassez votre semelle du reste de produit à l'aide d'une serviette en papier ou d'un torchon. Attention toutefois, s'il s'agit d'un torchon, vous ne pourrez plus l'utiliser. 1Prélevez un peu de beurre d'arachide. Appliquez l'équivalent de deux cuillères à soupe de beurre d'arachide sur le chewing-gum et laissez agir pendant une dizaine de minutes. 2 Essuyez le beurre d'arachide. Au bout de dix minutes de pause, grattez le beurre et le chewing-gum à l'aide d'une brosse métallique. Vous devrez sans doute frotter assez longuement, toutefois, le chewing-gum devrait être complètement éliminé grâce à cette dans le sens des rainures de la semelle. En allant contre les rainures, vous risquez d'abimer votre chaussure [2] . 3Nettoyez votre chaussure. Faites couler de l'eau fraiche sur la semelle de votre chaussure et frottez à l'aide d'une éponge pour éliminer le beurre d'arachide restant. 1Procurez-vous un bâton de bois ainsi que du sable sec. Cette méthode est idéale si vous êtes à l'extérieur et que vous avez marché sur un chewing-gum fraichement recraché par son propriétaire. Vous n'avez donc besoin que d'un peu de sable sec ou de terre ainsi que d'un petit bâton de bois. 2Saupoudrez le chewing-gum d'un peu de sable. Retirez votre chaussure et saupoudrez le chewing-gum d'un peu de sable. Aidez-vous du bâton pour frotter le sable sur le chewing-gum. Ce dernier se désagrègera en quelques minutes. 3 Ajoutez du sable de temps en temps tout en continuant à frotter. Tandis que le chewing-gum se désagrège petit à petit, ajoutez du sable et continuez à frotter. Le sable devient ainsi un exfoliant pour semelle de chaussure !Continuez l'opération jusqu'à ce que le chewing-gum soit complètement éliminé. L'opération peut prendre un peu de temps, toutefois, il vaut mieux s'y atteler pendant que le chewing-gum est encore malléable. Autrement, s'il sèche, vous risquez de peiner pour l'enlever. 1 Utilisez de l'essence à Zippo. Frottez le chewing-gum avec un vieux torchon ou une serviette en papier préalablement trempée dans une petite quantité d'essence à Zippo. Le liquide dissoudra le chewing-gum de mener cette opération dans une pièce aérée et loin de toute source de chaleur l'essence à Zippo est un produit hautement inflammable. 2 Utilisez du dissolvant pour vernis à ongles. Le dissolvant à base d'acétone est un excellent détachant lorsqu'il s'agit d'enlever du chewing-gum. Trempez une serviette en papier ou un vieux torchon dans une petite quantité de dissolvant et frottez le chewing-gum jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus sur la semelle de votre l'acétone est susceptible d'endommager le bord de votre chaussure, surtout si le revêtement est un daim. Soyez très prudente [3] ! 1Frottez une petite quantité d'huile d'olive sur le chewing-gum. Évitez toutefois de toucher le revêtement de votre chaussure surtout s'il s'agit de cuir ou de daim, au risque de le tacher définitivement. 2Laissez l'huile agir pendant une petite minute. 3Éliminez l'huile en frottant avec une serviette en papier. 4Éliminez le chewing-gum restant à l'aide d'un outil pointu préalablement trempé dans l'huile d'olive. 5Vous avez terminé ! Le chewing-gum doit être complètement éliminé et votre chaussure est de nouveau prête à l'emploi. Conseils Si vous n'avez pas la possibilité d'éliminer la totalité du chewing-gum rapidement, contentez-vous de frotter votre semelle sur le sol autant que possible. Autrement, vous pouvez utiliser un couteau à bout rond ou encore l'arête abrasive d'un trottoir. Avertissements Ne vous amusez pas à décoller le chewing-gum avec vos ongles qui sait par où il est passé avant d'atterrir sous votre chaussure ? À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 36 941 fois. Cet article vous a-t-il été utile ? Sommaire1 Comment nettoyer une tache chewing-gum sur un linge, un tissu ou un vêtement ? Pour les moyennes et grosses taches de Pour les petites taches de Pour enlever une tache de chewing-gum sur du cuir 2 Comment nettoyer une tache chewing-gum sur de la moquette ou un tapis ?3 Comment nettoyer une tache chewing-gum sur une terrasse ou un revêtement en pierre brute ?4 Comment nettoyer une tache chewing-gum sur du bois ou un parquet ? Sur du bois peint, verni ou Sur du bois brut5 Comment nettoyer une tache chewing-gum sur une carrosserie de voiture ?6 Des explications en Comment faire partir facilement une tache de chewing-gum sur les vêtements ? Comment retirer un chewing-gum collé dans les cheveux ? Ne mettez pas le tissu en machine sans effectuer un prélavage, car la tache risquerait de se fixer et le chewing-gum pourrait salir d’autres vêtements. Frottez toujours délicatement le tissu afin de ne pas érafler ou déformer les fibres textiles. Pour les moyennes et grosses taches de chewing-gum Faites durcir le chewing-gum en appliquant des glaçons sur la tache Grattez la surface avec une spatule ou un couteau sans dent pour décoller un maximum de matière Déposez quelques gouttes de citron sur la tache Tamponnez la tache avec chiffon humidifié à l’eau froide Passez le textile en machine à un cycle de 30 ou 40°C Hormis le jus de citron, d’autres détergents donnent également de bons résultats pour éliminer la tache grasse qui persiste après avoir décollé la pâte à mâcher. Alcool à 90° ou alcool ménager Savon de Marseille Acétone dissolvant Vinaigre blanc. Sur le linge blanc en coton, vous pouvez utiliser de la javel diluée. Pour les petites taches de chewing-gum Étalez une feuille de papier absorbant sur la tâche Passez le fer à repasser après avoir réglé la température au maximum Renouvelez la feuille plusieurs fois jusqu’à ce que la tâche s’estompe Passez le textile en machine à un cycle de 30 ou 40°C Pour enlever une tache de chewing-gum sur du cuir Retirez manuellement le maximum de chewing-gum Frottez la tache avec un chiffon imbibé d’eau et d’alcool à brûler Laissez sécher la surface et nettoyez les dernières traces avec du lait démaquillant ou lait pour bébé Déposez un sac en plastique rempli de glaçons sur le chewing-gum pendant 15 minutes Retirez les morceaux de chewing-gum durci avec une spatule ou un couteau Humidifiez la moquette à l’eau avec un peu d’acétone ou d’eau écarlate Frottez énergiquement les poils de la moquette avec une brosse dure pour décoller les derniers résidus solides des fibres Appliquez une mousse nettoyante spéciale moquette en massant circulairement avec une éponge humide Laissez agir une vingtaine de minutes puis passez l’aspirateur Une autre technique consiste à masser la tache avec un chiffon humide imprégné d’un corps gras huile, beurre afin que les dépôts de chewing-gum se détachent des fibres. Cette méthode est efficace, mais vous devrez ensuite traiter la tache de gras pour qu’il ne reste plus aucune trace. Appliquez des glaçons sur la pâte jusqu’à ce qu’elle durcisse Décollez la partie solide avec un outil plat ou en pointe selon que la surface soit lisse ou irrégulière Grattez la pierre énergiquement avec une bosse métallique Sur du carrelage lisse, frottez avec un chiffon imbibé d’huile après avoir décollé la pâte, afin de ne pas rayer la surface. Sur du bois peint, verni ou lasuré Retirez le maximum de résidus solides après avoir appliqué un glaçon pour durcir la pâte Frottez doucement la surface avec une fine laine d’acier ou du scotch brite Nettoyez la tache avec une éponge imbibée de white-spirit Si une tache de gras persiste, saupoudrez de terre de Sommière ou de talc, laissez agir la poudre agir quelques minutes puis nettoyez le bois à l’acétone dissolvant.Publicité Sur du bois brut Retirez le maximum de résidus solides après avoir appliqué un glaçon pour durcir la pâte Frottez ensuite la surface avec de la fine paille de fer 000 imprégné d’eau savonneuse savon de Marseille ou liquide vaisselle Appliquez des glaçons sur le chewing-gum pendant quelques minutes Retirez le maximum de matière à l’aide d’une spatule en bois pour ne pas rayer le verni Frottez la carrosserie avec un chiffon imbibé d’huile pour éliminer les dernières traces Dégraissez la surface avec une éponge imbibée d’eau chaude et de liquide vaisselle Rincez ensuite à l’eau claire Des explications en vidéo Ce tutoriel présente une méthode de prélavage pour éliminer le maximum de chewing-gum collé sur un tissu. Elle consiste à faire durcir le chewing-gum en le refroidissant quelques heures au congélateur à l’intérieur d’un sac en plastique, pour parvenir à le décoller plus facilement du tissu. Le vêtement est ensuite passé en machine pour faire disparaître totalement la tache. Vous pouvez également appliquer un glaçon directement sur la tache. Trempez la mèche de cheveux et le chewing-gum dans un verre de coca pendant quelques minutes Peignez la chevelure avec un peigne à dents fines pour faire glisser le chewing-gum jusqu’aux pointes Recommencez jusqu’à ce que tout le chewing-gum disparaisse Cet article a été rédigé par Émilie V. Source Lire le suivant Poireaux aux lardons au Cookeo Champignons à la grecque au Cookeo La rédaction de Paris Match » signe une motion de défiance contre la direction après le départ de Bruno Jeudy Filet de truite cuit à basse température, légumes d’hiver Filet de truite cuit à basse température, légumes d’hiver Ligue 1 le PSG signe un nouveau carton en balayant le LOSC Tennis Caroline Garcia remporte le tournois de Cincinnati Guerre en Ukraine, en direct les Occidentaux réaffirment leur souci de la sécurité nucléaire Autisme la piste génétique se confirme On sait enfin comment les moustiques nous flairent » Jonah Hill ne fera plus la promotion de ses films pour préserver sa santé mentale Good sex » L’émission de téléréalité qui analyse les sextapes de couples en difficulté Bouton retour en haut de la page Prenez l’habitude de nettoyer les portes des placards et de désinfecter occasionnellement toutes les surfaces avec un nettoyant antibactérien dilué sans javellisant. Essuyez avec un chiffon propre et humide, puis utilisez un chiffon sec pour éliminer toute trace d’humidité. Est-ce que faire pipi fait maigrir ? C’est ce processus naturel du corps qui amène beaucoup de gens à croire qu’uriner entraîne une perte de poids. Mais c’est totalement faux. A voir aussi Comment protéger le dessus des meubles de cuisine ?. Retirer l’eau n’élimine pas la graisse. Cependant, c’est la graisse qui doit être réduite pour perdre du poids. Quand vous perdez du poids, où va-t-il ? Plus de 80% de la graisse est convertie en dioxyde de carbone qui est expiré par les poumons. Rien d’étonnant à cela, comme l’explique la loi de conservation des éléments de Lavoisier rien ne se perd, rien ne se crée tout se transforme ». La graisse est composée d’atomes de carbone, d’oxygène et d’hydrogène. Pourquoi aller au toilette fait maigrir ? Si votre intestin fonctionne bien, cela aidera votre corps à se débarrasser des mauvais déchets alimentaires. Voir l’article Quel cuisine choisir 2021 ?. Ainsi, faire caca peut vous aider à perdre du poids en permettant à votre corps d’éliminer tous les déchets alimentaires coincés dans l’intestin et de se soulager après chaque repas. Est-ce que aller beaucoup au toilette fait maigrir ? Si aller à la selle ne fait pas vraiment maigrir, il est certain qu’un bon transit va de pair avec de bonnes habitudes alimentaires et les effets amincissants en découlent. La fréquentation doit être régulière, quotidienne et peut aussi avoir lieu avant ou après le sport. Pourquoi avoir la diarrhée fait maigrir ? La manifestation d’une maladie digestive ou infectieuse La maladie coeliaque, la maladie de Crohn ou la rectocolite hémorragique entraînent souvent une perte de poids car le transit est accéléré diarrhée et les nutriments sont mal absorbés dans l’intestin. Est-ce que boire de l’eau fait maigrir ? En fait, il faut d’abord noter que l’eau elle-même ne permet pas de perdre du poids. C’est bien sûr un aliment sans calorie mais son ingestion ne suffit pas pour perdre du poids. Voir l’article Quelle est la plus belle couleur pour une cuisine ?. Cependant, l’eau a d’autres avantages qui favorisent indirectement la perte de poids et maintiennent un poids santé. Est-ce que boire 2 litres d’eau par jour fait maigrir ? Des études le confirment l’eau fait maigrir Et les résultats parlent d’eux-mêmes les femmes qui ont bu au moins 2 litres d’eau ont perdu en moyenne 2,3 kg de plus que les femmes qui en ont bu moins. Est-ce que boire de l’eau fait perdre du ventre ? Que boire pour maigrir du ventre L’eau aide à brûler plus de calories. C’est en brûlant des calories que l’on peut se débarrasser plus rapidement des kilos superflus. En buvant de l’eau, le corps consomme plus d’énergie, qui est considérée comme le nombre de calories brûlées au repos. Comment le corps élimine les graisses ? En fait, la graisse sort principalement dans l’atmosphère, lorsque l’air est expiré. Lors d’une perte de poids, plus de 80 % des graisses sont évacuées des poumons sous forme de dioxyde de carbone CO2. Quant aux 20 % restants, ils sont évacués sous forme de fluides corporels. Quand le corps commence à brûler la graisse ? On brûle des graisses après vingt minutes d’effort physique », explique le coach sportif Mourad Bendjelloul. Les vingt premières minutes on augmente la température corporelle et on élimine les sucres rapides, le glucose ». La graisse, également appelée tissu adipeux, est ensuite éliminée. Quel organe éliminé les graisses ? Le foie, en particulier, est responsable du métabolisme des graisses dans notre corps. Lire aussi Quelle peinture pour repeindre un meuble déjà peint ? Les sous-couches/apprêts de…Comment nettoyer de la peinture mat ? En présence de graisse, ces parois revêtues de peinture satinée ou mate s’entretiennent facilement avec un mélange pâteux d’eau et de bicarbonate de soude. Appliquez la pâte sur la partie affectée; Laisser reposer au moins une heure; Rincez abondamment avec une éponge humide, puis séchez. Comment faire briller la peinture mate ? Comment faire briller un vernis mat ? Pour donner un aspect mat, il faut ajouter 0,5 à 1% de silice pyrogénée Aerosil, Cabosil ou équivalent, mais cela épaissit la peinture elle s’estompera moins après application. Pour disperser il faudra agiter vigoureusement avec une barre. Comment enlever des traces sur de la peinture mat ? Pour enlever les petites traces Pour cela, munissez-vous de gants de ménage pour protéger vos mains et munissez-vous d’une éponge non abrasive ou marine et trempez-la dans de l’eau propre. Effectuez de petits mouvements de bas en haut, puis laissez sécher le support. Comment entretenir une peinture mate ? Pour vous assurer que votre véhicule conserve son aspect terne, vous devez vous rendre régulièrement dans un lave-auto. Humidifiez la carrosserie avec un jet d’eau haute pression sans balais, puis appliquez le shampoing corps mat avec une éponge microfibre pour éviter les rayures. Comment enlever des taches sur un mur sans enlever la peinture ? Le bicarbonate de soude est un produit naturel très doux pour nettoyer un mur peint sans abîmer la peinture. Créez un mélange pâteux en mélangeant le bicarbonate de soude avec de l’eau chaude. Appliquez la pâte sur la tache et laissez agir 1 heure. Quel produit pour nettoyer peinture mat ? Pour vous assurer que votre véhicule conserve son aspect terne, vous devez vous rendre régulièrement dans un lave-auto. Humidifiez la carrosserie avec un jet d’eau haute pression sans balais, puis appliquez le shampoing corps mat avec une éponge microfibre pour éviter les rayures. Comment enlever des taches sur un mur sans enlever la peinture ? Le bicarbonate de soude est un produit naturel très doux pour nettoyer un mur peint sans abîmer la peinture. Créez un mélange pâteux en mélangeant le bicarbonate de soude avec de l’eau chaude. Appliquez la pâte sur la tache et laissez agir 1 heure. Comment nettoyer un mur blanc mat ? Diluez les cristaux de soude dans de l’eau une tasse à café de soda pour 1 litre d’eau et nettoyez les taches les plus visibles telles que les éclaboussures de graisse. Attendre une heure avant de rincer avec une éponge humide et de sécher. Comment nettoyer un mur peint non lessivable ? Le bicarbonate de soude est un produit naturel très doux pour nettoyer un mur peint sans abîmer la peinture. Créez un mélange pâteux en mélangeant le bicarbonate de soude avec de l’eau chaude. Appliquez la pâte sur la tache et laissez agir 1 heure. Comment on sait si un mur est lessivable ou non ? Si vous ne savez pas, vous pouvez faire un test simple sur une partie légèrement cachée du mur prenez un chiffon imbibé d’alcool à 90° et frottez légèrement la peinture. Si la peinture se dilue et absorbe vraiment le chiffon, la peinture n’est pas lavable. Comment nettoyer un mur blanc sans enlever la peinture ? Pour cela, diluez les cristaux de soude dans de l’eau à raison d’une tasse de café pour un litre d’eau. Trempez l’éponge dans ce mélange, essuyez-la sur le mur puis attendez une heure avant de rincer et de sécher cette partie du mur. Vous verrez que son efficacité est bien réelle. A voir aussi Comment enlever la poussière sans produit ? 7/ La recette idéale …Quand on a faim on perd du poids ? C’est aussi la certitude de perdre du poids. La faim protège notre poids, annule l’effet grossissant de la nourriture, car elle signale un déficit énergétique dans le corps. De plus, quand on respecte sa faim, on mange moins », insiste le Dr Jean-Philippe Zermati, nutritionniste. Est-ce bon d’avoir faim ? Une légère sensation de faim avant les repas permet de limiter l’augmentation de la glycémie suite à la consommation d’aliments. Quand on a faim on brûle des calories ? L’important est de manger quand on a vraiment faim. Vous devez lui fournir ce dont il a besoin quand il le demande et ne pas être poussé par le désir de perdre du poids. Et dans ce cas il brûle toutes les calories ingérées, sans les stocker. Quand le corps brûle des calories ? Oui, en fin d’après-midi. C’est durant cette phase de la journée que le plus de calories sont brûlées, comme l’ont montré des chercheurs américains dans une récente étude. La raison ? Le lien entre métabolisme et rythme circadien. Quand Est-ce qu’on perd le plus de calories ? En conséquence, la dépense énergétique la plus élevée se produit environ 12 heures après le réveil en fin de journée. Les gens peuvent brûler jusqu’à dix pour cent de calories en plus en début de soirée et en soirée pendant qu’ils se reposent. Où on maigrit en premier ? Graisse abdominale Bonne nouvelle cependant la graisse du ventre est la première à être perdue, car les hormones brûleuses de graisse sont plus présentes dans l’abdomen. Où va la graisse quand on perd du poids ? En fait, la graisse sort principalement dans l’atmosphère, lorsque l’air est expiré. Lors d’une perte de poids, plus de 80 % des graisses sont évacuées des poumons sous forme de dioxyde de carbone CO2. Quant aux 20 % restants, ils sont évacués sous forme de fluides corporels. Quelle est la partie du corps qui maigrit en premier ? On perd plus facilement du haut du corps que du bas, les tissus adipeux sont différents selon leur localisation les graisses accumulées dans le haut du corps, notamment dans la région abdominale, sont les premières à disparaître au cours d’une régime amaigrissant. Quand le corps commence à maigrir ? A partir de 19h00 votre corps n’a plus besoin d’autant d’énergie, et donc de calories. Le soir, vous commencez votre régime. Un dîner léger mais de qualité pour ne pas se sentir frustré. On mise sur des soupes, des légumes variés, très peu de protéines pour bien dormir, des matières grasses et très peu de sucre. Comment Sent-on qu’on maigrit ? 1 – Flottez légèrement dans vos vêtements. Source WeHeartIt. …2 – Votre appétit est moins important qu’avant. Source WeHeartIt. …3 – Votre force a décuplé. Source WeHeartIt. …4 – Vous aimez de plus en plus votre corps. Source WeHeartIt. …5 – Ressentez une bouffée d’énergie. …6 – Vous voulez moins de matières grasses. Quand commence la perte de poids ? Une semaine, un kilo. Tout d’abord, sachez que pour perdre 10 kilos durablement et en toute sécurité, les nutritionnistes et diététiciens fixent la durée du régime à 10 semaines, le bon rythme est de perdre un kilo chaque semaine. Voir l’article Comment relooker la cuisine à moindre coût ? 10 astuces pour relooker…Quelle est la différence entre de l’acétone et du white spirit ? Le white spirit a aussi une autre fonction c’est un puissant dégraissant au même titre que l’acétone. En fait, il est disponible dans tous les magasins de bricolage et supermarchés et est le plus souvent conditionné dans une bouteille de 1 litre. Qu’est-ce qui remplace l’acétone ? Le citron. Le citron est un moyen naturel d’enlever le vernis à ongles. Cette méthode a l’avantage d’être sûre, sans danger pour les ongles et peu coûteuse. Le citron renforcera également vos ongles et les blanchira. Est-ce que l’acétone peut remplacer le white spirit ? La catastrophe de l’Erika nous a permis d’expérimenter et de voir que l’on peut très bien remplacer le white spirit, l’acétone et autres solvants chimiques des dérivés végétaux aux mêmes vertus. Le terpène orange est l’un des substituts écologiques très efficaces du white spirit et autres diluants. Qu’est ce qui remplace le white spirit ? Si vous êtes au milieu d’un travail de peinture et que vous avez besoin de nettoyer des pinceaux, des rouleaux ou d’enlever des taches de peinture sur vos mains, vous pouvez remplacer le white spirit par de l’huile d’olive et du savon. Quels sont les utilisations de l’acétone ? Les différentes utilisations de l’acétone Enlevez différents types de taches. …Nettoyer et dégraisser. …Nettoyer les vitres. …Débarrassez-vous du calcaire. …Nettoyez une plaque vitrocéramique sale. …Meuble ciré rayé. …Retirer un autocollant. …Retirez le chewing-gum sous une chaussure. Qu’est ce qui remplace le white spirit ? Brandy 6 alternatives naturelles au produit Le terpène des agrumes. Pour des travaux respectueux de l’environnement dans la maison, remplacez le white spirit par le terpène d’agrumes. …Eco-solvants. …Huile d’olive. …Savon de Marseille. …Essence de térébenthine. …Les conseils de grand-mère. Quel produit utiliser pour nettoyer les pinceaux de peinture ? Versez un peu de white spirit dans un bocal et trempez le pinceau à l’intérieur pendant quelques minutes en vous assurant que tous les poils sont imbibés de solvant. Une fois les restes de peinture dissous, rincez le pinceau avec de l’eau tiède savonneuse. Comment nettoyer des pinceaux de peinture sans white spirit ? L’huile d’olive aide à nettoyer les pinceaux, même ceux qui ont été utilisés pour peindre avec de la glycérine. Trempez bien la brosse humide dans l’huile, puis trempez-la dans le savon à vaisselle. Tout ce que vous avez à faire est de rincer les pinceaux à l’eau claire. Également utile pour enlever les taches de peinture sur le cuir. Est-ce que le vinaigre blanc dégraissé ? Le vinaigre désinfecte, désodorise, dégraisse, prévient et traite les taches minérales calcaire, tartre…. Tout cela de manière écologique et saine. Que pouvez-vous nettoyer avec du vinaigre blanc ? Voici 23 utilisations magiques du vinaigre blanc que tout le monde devrait connaître Désodorisez les les la planche à la le la machine à les le micro-ondes. Quel est le produit le plus dégraissant ? Produit dégraissant n°1 on fonce sur le vinaigre blanc. Grâce aux propriétés nettoyantes du vinaigre blanc, vous pouvez combattre efficacement toutes les taches et résidus de graisse ! Qu’est-ce qui dissout la graisse ? Les graisses sont insolubles dans l’eau. Pour les éliminer, vous pouvez les dissoudre opération de dissolution, à l’aide d’un solvant ; les transformer en savons solubles dans l’eau, en utilisant des produits très basiques comme les silicates de soude, de potassium ou de sodium. Quel produit pour dissoudre les graisses ? Le savon à vaisselle est un dégraissant à base d’eau, idéal pour éliminer les résidus de graisse ou d’huile de vos ustensiles de cuisine. Comme pour les pièces mécaniques et les machines industrielles, un dégraissant à base de solvant tel que le dégraissant spécialiste à efficacité immédiate WD-40 est requis. Est-ce que le vinaigre blanc dégraisser ? Le vinaigre désinfecte, désodorise, dégraisse, prévient et traite les taches minérales calcaire, tartre…. Tout cela de manière écologique et saine. Quel produit pour dissoudre les graisses ? Le savon à vaisselle est un dégraissant à base d’eau, idéal pour éliminer les résidus de graisse ou d’huile de vos ustensiles de cuisine. Comme pour les pièces mécaniques et les machines industrielles, un dégraissant à base de solvant tel que le dégraissant spécialiste à efficacité immédiate WD-40 est requis. Qu’est-ce qui dissout la graisse ? Les graisses sont insolubles dans l’eau. Pour les éliminer, vous pouvez les dissoudre opération de dissolution, à l’aide d’un solvant ; les transformer en savons solubles dans l’eau, en utilisant des produits très basiques comme les silicates de soude, de potassium ou de sodium. Quel produit pour dissoudre les graisses ? Le savon à vaisselle est un dégraissant à base d’eau, idéal pour éliminer les résidus de graisse ou d’huile de vos ustensiles de cuisine. Comme pour les pièces mécaniques et les machines industrielles, un dégraissant à base de solvant tel que le dégraissant spécialiste à efficacité immédiate WD-40 est requis. Comment enlever la graisse tenace ? Appliquez un peu de pâte de bicarbonate de soude avec une éponge et frottez les traces en mouvements circulaires, puis rincez avec un chiffon en microfibre. Même les taches d’huile les plus tenaces ne tiennent pas ! Comment fabriquer un dégraissant puissant ? Avec une cuillère à soupe de bicarbonate de soude, 20 gouttes d’huile essentielle d’agrumes citron par exemple et 2 tasses d’eau, vous pouvez fabriquer le dégraissant naturel le plus simple. Pour ce faire, mélangez le tout. Et versez votre mélange dans un vaporisateur. Ça y est, c’est prêt ! Comment nettoyer des portes de cuisine laqué ? Facilité d’entretien Les surfaces laquées demandent peu d’entretien, c’est une bonne nouvelle ! Qu’ils soient brillants ou satinés, en effet, pour nettoyer les meubles de cuisine laqués, vous n’aurez besoin que d’un chiffon en microfibre humide et d’un peu d’eau tiède, légèrement savonneuse si nécessaire. Comment nettoyer une cuisine laquée noire ? Utilisez un chiffon doux, humidifiez un chiffon doux non pelucheux avec de l’eau tiède microfibre ou peau de chamois pour laver les surfaces avec des produits de peinture spécifiques. Comment nettoyer façade cuisine brillante ? Dans un bol rempli d’eau tiède, diluez 4 cuillères à soupe de bicarbonate de soude. Imbibez un chiffon en microfibre de cette solution, puis essuyez la façade des armoires de cuisine. Rinçage. Sec. Comment nettoyer les façades de meubles de cuisine ? Gardez à l’esprit que la plupart des façades d’armoires de cuisine peuvent être nettoyées avec un peu d’eau, du savon et un chiffon en microfibre doux et bien essoré. Pour les taches tenaces, vous pouvez utiliser du savon à vaisselle et du nettoyant pour vitres, mais de préférence sans alcool. Comment nettoyer les portes de cuisine brillante ? Facilité d’entretien En effet, qu’ils soient brillants ou satinés, pour nettoyer les meubles de cuisine laqués, il suffit d’un chiffon microfibre humide et d’un peu d’eau tiède, éventuellement légèrement savonneuse. Comment enlever les traces de doigts sur les meubles de cuisine ? Pour enlever la poussière, la saleté légère et les traces de doigts, utilisez simplement un simple nettoyant pour vitres à base d’alcool ou simplement du savon et de l’eau. Dans ce dernier cas, rincez rapidement à l’eau claire puis essuyez immédiatement avec un chiffon doux. Comment enlever les traces sur une cuisine noir mat ? Nos conseils d’entretien Pour les taches tenaces, vous pouvez utiliser du liquide vaisselle, du vinaigre blanc pour les meubles en stratifié et du nettoyant pour vitres pour les meubles en mélamine, mais de préférence sans alcool. Les meubles de cuisine mats séduisent par leur aspect soyeux et leur toucher velouté. Comment enlever trace doigt meuble cuisine laqué ? Si les marques sont tenaces imbibez le chiffon doux d’eau tiède additionnée de liquide vaisselle, d’alcool ménager ou de dégraissant naturel ; Passez le chiffon humide sur la surface tachée avec des mouvements circulaires; Séchez la surface avec un autre chiffon doux. Le deal à ne pas rater Cartes Pokémon où commander le coffret Pokémon Go Collection ... € Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives CorbeillePartagez Aller à la page 1, 2 AuteurMessageInvité Empire State of MindInvité Sujet Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Mer 6 Jan - 2254 Comment était-ce possible d’en arriver là ?Comment un amour si fort, si passionnel, pouvait-il mener ainsi à une situation gênante ?Deux semaines auparavant, après s’être quelque peu déchirée avec sa conjointe, Ludmila avait découvert une chose des plus troublantes en fouillant dans l’ordinateur de cette dernière. Oh, elle n’avait sans doute qu’à pas fouiner, me direz-vous. Mais le mal était fait, et la jolie blonde ne parvenait toujours pas à se défaire de l’idée que Dominura puisse s’intéresser à quelqu’un d’autre qu’elle, ayant déjà fait de nombreuses recherches au sujet d’une femme, très reconnue dans le domaine de la une nuit relativement calme – bien que riches en rapprochements et en amour – Ludmila était rentrée chez elle afin de prendre une douche et de se changer, et ce avant de finalement repartir au travail. A la moindre seconde de liberté, la jeune psychologue en profitait à son tour pour taper le nom de cette femme dans son moteur de recherche, regardant les quelques photos disponibles la concernant, quelques articles, sans oublier les vidéos – qu’elle ne manqua pas de priver de son afin de ne pas attirer l’attention de ses collègues de jours passaient, et Ludmila se retrouvait de plus en plus débordée, croulant sous les demandes de sa nouvelle patronne, étouffant des bavardages absurdes et futiles de deux de ses collègues, ne supportant plus la jalousie de celle qui ne cessait de tenter de lui mettre des bâtons dans les roues. Seule une fameuse Maureen – soit une jeune femme charmante, juste à côté de son bureau et avec qui elle pouvait parler de choses sérieuses – lui donnait le courage de garder son enthousiasme et son sourire, tandis que la jeune Russe se sentait quelque peu affaiblit par les divers évènements qui traversaient sa une semaine, la jolie blonde ne croisa son aimée que trois fois Deux afin de prendre un café, non loin de son travail car n’ayant guère le temps de s’attarder – Et une autre à l’atelier, où elle n’avait pas résisté à cette angoisse curieuse et avait à nouveau ouvert l’ordinateur de son amante afin d’y vérifier qu’elle ne cherchait plus rien au sujet de Grace. Hélas pour elle, Ludmila pu bien vite se rendre compte que ça n’était pas le cas Malgré une baisse d’actualités au sujet de cette femme, Dominura avait bel et bien recherché son nom, parcourut quelques sites. Pourquoi est-ce que tu fais ça ?Pourquoi est-ce que tu me fais ça ?Oh, peut-être que cela semblait tout à fait anodin, d’un point de vue extérieur. Peut-être même que Ludmila se faisait du souci pour rien ? Après tout, rien ne prouvait que ces recherchent n’étaient pas innocente. Rien, si ce n’était le fait que Dominura avait cliqué sur certaines photos afin de les agrandir. Des photos où l’on voyait Grace en séance de shooting, très classe malgré une simplicité évidente. Classe et charismatique. Classe et parfois sensuelle, sans exagération. Ce fut par ailleurs après avoir vu ces photos que Ludmila décida de tout fermer, ainsi que de rentrer chez elle, parvenant à trouver une excuse auprès de Dominura afin d’éviter de craquer face à elle, lui demandant des explications à tout Dominura ne semblait pas moins l’aimer. Pourtant, elle ne montrait rien, ne disait rien de cette femme. Etait-elle alors en train de lui cacher quelque chose ? D’une certaine façon, sans doute. Mais Ludmila préférait ne pas le savoir, s’isolant donc afin de ne pas faire dégénérer inutilement leur soirée. Soirée qui fût néanmoins gâchée, donc, puisque la jeune Russe s’en alla assez tôt, ne restant pas même dormir chez son aimée comme elle l’avait fait la semaine était particulièrement débordée, donc, et commençait à subir la fatigue de toutes ces heures passées au DefrawayS, en plus de l’énervement causé par quelques désaccords avec sa patronne, ainsi qu’avec ses collègues. Perfectionniste et ambitieuse, Ludmila ne laissait néanmoins jamais tomber, quitte à faire plus d’heures encore – Quitte à négliger davantage sa relation avec la belle toute cette deuxième semaine, Ludmila n’eut pas l’occasion de donner rendez-vous à son aimée, ne l’appelant qu’une ou deux fois dans la semaine, cinq petites minutes, afin de s’excuser de ne pas pouvoir être plus présente. Elle ne le pouvait pas. Vraiment pas. Ne dormant que quatre heures pas nuit – le temps de rentrer, de se doucher puis de se préparer à repartir – la jolie blonde sentait clairement son corps s’affaiblir, plus encore que lorsqu’elle tenait déjà ce rythme, à Londres, à passer son temps à sortir et à boire de l’alcool, chaque nuits. Cette fois, c’était différent Le travail n’avait rien d’amusant, bien qu’il soit intéressant et enrichissant. Ce travail l’épuisait, à n’en plus pouvoir se souvenir de ses bonnes résolutions vis-à-vis de veux-tu, mon Amour, de ne pas venir te voir plus souvent ?Je penser pourtant à toi. Enormément. Et j’espère qu’il en est de même pour toi, tandis que mes esprits se perdent parfois, me déconcentrant, à songer que tu puisses te réfugier dans ces recherches virtuelles, regardant ces photos de cette femme qui n’est pas moi. Dépêches-toi ! Meredith le veut dans dix minutes ! »Oui, oui, ça va ! Je ne t’ai rien demandé, à toi. Tap Tap Tap Tap Tap [ … ] Ludmila tapait aussi vite qu’elle ne pouvait, n’ayant plus qu’à rédiger une conclusion à son artiste avant de filer dans le bureau de sa patronne afin de le lui rendre. Cinq minutes seulement avant m’entretient prévu avec cette dernière, la jolie blonde mit enfin fin à son travail, allumant alors rapidement l’imprimante et faisant imprimer son Driiiiiing- Oui ?!Le numéro de Dominura s’était alors affiché sur l’écran accompagnant son téléphone de bureau. Ce numéro qu’elle avait reconnu, s’en voulant presque immédiatement d’avoir répondu Elle n’aurait jamais le temps d’accorder plus de trente secondes à sa conjointe ! Elle qui comptait filer immédiatement à l’étage supérieur afin de ne pas arriver en retard, une fois son dossier imprimé, voyait à présent ses plans le fait que sa conjointe l’appel ici ne signifiait-il pas que cela était important ? Ludmila lui avait bien précisé d’éviter de la joindre au travail, afin de justement éviter ce genre de contretemps. Quelque peu survolté, tendue par ce léger retard qu’elle avait pu prendre concernant ce dossier – ou l’absence d’avance, plutôt – la jeune psychologue s’était donc montrée d’une vivacité étonnante en décrochant, laissant ensuite entendre, clairement pressée mais tout de même inquiète de cet appel inattendu - Qu’est-ce qu’il y a ?!Mon Amour, dis-moi si peu de temps à t’ Dieu, je vais être en va hurler, si je n’arrive pas à seize heures il est déjà presque l’heure.… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Mer 6 Jan - 2346 "FouaaaaaaaaaaaaaaaahhHhHmmmhHmm~Hmmgnhmmh ? Quelle heure il est ?"Entrouvrant les yeux après avoir étendu les bras bien haut au dessus de sa tête pour se donner un peu de souplesse et d'énergie, la grande femme sortait tout juste d'un sommeil de plomb qui n'avait malheureusement duré que deux courtes heures, son emplois du temps ne lui permettant pas plus de folies si elle désirait terminer son travail comme il se le fallait. Ainsi s'extirpa t-elle de son lit, non sans un certain mal, peu certaine de pouvoir tenir la journée dans ces conditions de fatigue accumulée. Quelle idée, aussi, de travailler aussi tard, d'aller aussi loin dans ses recherches de perfection ?Oui, je cherche toujours la perfection,Même à m'en rendre cherche la perfection en toute chose. En toutes personnes. Exigeante ? Oh, oui. Evidemment. Et cela se voit, cela se ressent, n'est-ce pas ? Je courrai sans doutes à ma propre perte, à de telles aspirations Toute ma journée sera à nouveau focalisée sur mes illustrations à terminer. Encore. Toujours. Toujours. Et encore."AahhhHlàlà... Tu n'en finiras jamais, ma fille."Un instant de silence paisible, tandis qu'elle se laissait asseoir sur le bord du lit, joignant ses mains entre elles sur ses cuisses, regardant un instant vers la fenêtre de sa chambre, son regard vert sombre se perdant une fraction de secondes au travers du carreau clair et parfaitement bien nettoyé."Et toi, que fais-tu, petit chat ?"Sans doutes Ludmila était-elle, de son côté, déjà partie servir son arachnéenne patronne, cette dernière lui demandant de venir toujours plus tôt, de rester toujours plus tard, n'ayant certainement pas manqué de trouver en la belle russe un quelconque point positif qu'elle désirait exploiter, de tous les moyens qu'il était possible d'executer. Et de son côté ? L'Illustratrice travaillait pour elle même, sinon pour ses éditeurs. L'absence de son aimée auprès d'elle se faisait de plus en plus oppressante, et le manque d'amour certain. Le manque d'attention. D'esthetique. Sans comtper tous ces coups de telephone qui ne terminaient jamais plus que de dix minutes, uniquement pour annoncer des mauvaises nouvelles Le manque de travailles trop, petit sais-tu ? T'en rends-tu compte ? Certainement. Tu me paraissais plus vive mais également plus tourmentée, ces derniers temps, les rares fois où je t'ai vue. Toi aussi, tu as ce rêve, cette ambition de perfection. Mais y arriveras-tu seulement, avec une patronne comme elle ? Elle finira sans doutes que par te rendre à nouve au, la trentenaire daigna enfin se lever de son lit, n'ôtant pourtant pas ses pensées matinales, passant ses chaussons et se dirigeant vers la cuisine, revêtant malgré sa fatigue une couverture de bonne humeur de d'enthousiasme La journée se passerait-elle bien ? Oh, sans doutes pas plus que les précédentes. Aucune visite de Ludmila de prévue, aucune bonne nouvelles aux alentours, mais rien ne laissait croire que quelques évènements négatifs viendraient troubler le calme presque trop parfait de la maitresse de maison, qui se mettait alors à chantonner tout en faisant préchauffer sa pom pom ♫Ni une, ni deux, et déjà le café coulait-il sur les trois sucres au fond de sa tasse. De l'autre côté de NewYork, pendant ce temps, Meredith laissait entendre repproches sur repproches à tout le rayon qu'occupait Ludmila. Charmants le café prit, Dominura se décida, d'une prennante envie, de rejoindre son atelier, et simplement voir si elle avait quelques mails....... Ainsi que de nouvelles actualités au sujet de Grace Sidnëather. Elle avait lu, quelques semaines plus tôt, que cette dernière avait une conférence prévue sur NewYork, mais rien n'avait été trop précisé, étant donné la privacité des propos avancés. Elle devrait mieux chercher. Se renseigner encore. Et encore elle ne savait absolument pas que son aimée était passée derrière elle, sur son propre ordinateur, à de nombreuses reprises, voyant absolument tout ce qu'elle avait pu faire sur la toile, que cela concerne Grace ou bien la recherche d'une adresse de maison d'édition Cela était peut-être mieux, ou peut-être pire, dans tous les cas, aucune pensées ne pouvaient s'aventurer sur le même lui venait à l'esprit ce que pourrait penser Ludmila si elle voyait que son ex-patronne s'interessait de si près à quelqu'un qui occupait un des postes qu'elle n'aurait sans doutes jamais approché de sa vie, même en rêve. La science ? Ah, ah ! Cela n'avait jamais interessé Dominura !...Jusqu'à dans son fauteuil, buvant une gorgée de son café sur le vif, elle ne tarda pas à commencer à cliquer sur ses fils de recherche, la plupart des sites les plus interessants demeurant dans un de ses dossiers de favoris -Chose que Ludmila n'avait certainement pas pensé dans ses fouilles, aussi étrange que cela puisse ?Cliclic~ ?"Hein ?!! SAMEDI ?!"Débousollée par la nouvelle soudaine, la grande femme doublecliqua en toute hâte sur la pendule en bas à droite de son écran, afin de s'assurer de la date du jour même. Il était vendredi ? Mon dieu !! Mais alors... Grace Sidnëather et son équipe actuelle dispensaient leur conférence le lendemain ?! A NewYork ?! Et si près du centre ?Mon dieu Mon dieu Mon dieuuuu !!Prise d'une étrange bouffée de châleur d'euphorie, la grande femme ne tint plus en place sur sa chaise, se pinçant les lèvres, les yeux brillants, regardant à droite, à gauche, surexcitée, comme cherchant de quoi faire exploser sa bonne humeur Quoi de mieux qu'une telle nouvelle pour commencer la journée ?! Elle pourrait sans doutes, par le biais lointain de Bernard, se procurer des billets d'entrée pour cette conférence relativement privée, et s'y rendre ! Ooooohlàlààà... Elle pourrait voir cette femme en vrai ? Là, sur scène, en train de parler de son travail, de ses recherches, si interessantes ?! Oh mon dieuuuu !C'est tellement engageant !"Ghniiihiiiiiiii il faut ABSOLUMENT que j'appelle Bernard !!"Ce qu'elle fit comme les souhaits de Dominura étaient souvent bien vite comblés, au niveau des accès aux salles de conférences aussi diverses que variées, elle ne dût pas tant attendre avant d'avoir le feu vert et la promesse dudit Bernard, qui lui promettait de mettre en place ses relations pour la faire entrer même sans invitation. Lui jurant milles baisers amicaux de remerciement, et ne répondant pas à la question de son parrain artistique qui lui demandait, intrigué, pourquoi elle mettait tant d'euphorie à lui supplier des places pour accéder à cette conférence, elle raccrocha finalement, bien déterminée à présent à appeller sa conjointeOuiii, ouiii, Il fallait absolument qu'elles y aillent ensemble !N'avait-elle pas suivi l'apparition de Grace à la télévision, à Londres ?OohHhhHhh, Ludmila, fais donc cela pour moi, d'accord ?Je veux tellement y aller, avec toi !!Mais Dominura. Ne te rends-tu pas compte de ton obsession, qui pourrait peut-être intriguer, voire blesser ta conjointe ?Apparemment, non. Tout n'était qu'innocence, alors qu'elle attrappait son téléphone, vivement, avant de composer le numéro de sa belle, bien qu'elle sût pertinemment son indisponibilité, pretextée ou non, de par son voix de Ludmila tonna alors dans l'oreille de la grande femme en robe de nuit et en chaussons, lui faisant l'effet d'un choc electrique, n'étant pas assez d'humeur susceptible pour y ressentir là une quelconque douche froide. Qu'est-ce qu'il y avait ?Absolument pas rebutée par le ton pressé de la charmante russe, ni même par le ton froid et angoissé qu'elle lui avait fait entendre, Dominura enchaina donc, de son enthousiasme adorable"Bonjour petit chaaat~ !!Comment vas-tu ? Je ne te prendrai pas beaucoup de temps !"Sourire, pour elle même, alors que, les yeux brillants -Quoique Ludmila ne puisse les voir- elle ajouta"Voudrais-tu venir à une conférence avec moi demain ? S'il te plaiiiiiiiit~ Je voudrais que l'on y ailles ensemble !! Bernard m'a déjà assuré les places !~Une conférence de Grace Sidnëather !!"Tu t'en rends compte ?C'est vraiment génial !Aloooors, alooors ?Viendras-tu avec moi ?J'ai tellement envie !Tellement envie ?De toi ?OuDe la voir,Elle ?Je n'en perds pas le Tac, les aiguilles tournentEt le tempsEst maintenantDangereuxNe me perds pasJe m'en évanouiraisEt Tic, Tac,Le temps Nous attendre~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Jeu 7 Jan - 031 Surprise par l’appel de sa conjointe, Ludmila s’était sans doute montrée plus froide et plus agressive qu’elle ne l’aurait voulu en interrogeant cette dernière. Pourquoi donc l’appelait-elle ici ? Quelque chose n’allait pas ? Cela ne pouvait qu’être important ~ Dominura n’aurait jamais appelé, autrement, n’est-ce pas ? Elle savait pertinemment que la jeune psychologue n’avait pas le temps de discuter, lorsqu’elle se trouvait à son bureau. Chaque seconde comptait. Et les secondes défilaient, là, sous les yeux de Ludmila, qui regardait à présent sa montre avec une attention nerveuse. L’aiguille semblait s’emporter, tandis que la jolie blonde attendait une réponse de sa conjointe, entendant alors le son de sa voix enjoué passer jusqu’à son cet enthousiasme ? Ludmila n’en savait rien. Peu importe. Son attention était bien plus centrée sur sa montre en argent – neuve et évident de marque – que sur la voix de son aimée, qui lui demandait alors comment elle allait, avant de préciser qu’elle ne lui prendrait pas beaucoup de temps. Pas beaucoup de temps. Bien. Esquissant un très léger sourire à ces mots, quelque peu rassurée et se laissant emporter une seconde à l’enthousiasme frappant de la femme qu’elle aimait, Ludmila le perdit néanmoins rapidement, se rendant compte en un spasme d’angoisse au ventre qu’il ne lui restait plus que trois minutes pour agrafer son dossier et se rendre au bureau de Oui, Trésor. Dépêches-toi. Que veux-tu me dire ? Je suis désolée de me montrer si nerveuse et désagréable, mais tu comprends, je ne peux absolument pas arriver en retard. Meredith me le ferait payer. Et je tiens à bien faire. Je ne veux pas la décevoir. Me enchaîna, Ludmila ne l’écoutant qu’à moitié, son regard se perdant un instant vers son imprimante. Rapidement, et alors que Dominura parlait de cet air enjouée, la jeune psychologue se leva, prenant les feuilles imprimées entre ses doigts et vérifiant leur bonne le téléphone au creux de son épaule afin de ne plus l’avoir dans la main, Ludmila attrapa l’agrafeuse et rattacha toutes ces feuilles ensemble tandis que Dominura terminait, laissant entendre ce nom auquel elle ne s’était pas attendu, n’ayant pas été très attentive. Oh, elle avait bien entendu, bien compris. Une conférence ? Demain ? Bernard avait donc déjà assuré les places, et la belle française semblait tenir à sa l’agrafeuse sur son bureau, tenant son dossier en main – prête à partir – Ludmila entendit alors ce nom qu’elle n’avait pas eu la moindre envie d’entendre. Grace Sidnëather »Arrêtant net tout mouvement, Ludmila manqua faire tomber le téléphone, ayant néanmoins le bon réflexe de le reprendre en sa main, ses lèvres s’entrouvrant tandis qu’elle pâlissait d’une sueur froide insupportable. Une conférence de cette femme ? Cette femme, qui semblait tant fasciner sa conjointe ces derniers temps ?Sentant une vague de mauvaise humeur et d’agacement l’envahir, Ludmila reconsidéra alors les précédentes paroles de sa compagne, laissant un silence s’interposer avant qu’elle ne laisse échapper, vive et visiblement trop pressée et agacée pour parler de cela dès maintenant - Demain ?! Mais tu sais très bien que je travail Trésor !Fronçant les sourcils, jetant un nouveau coup d’œil nerveux à sa montre, Ludmila laissa alors entendre, sur un même ton, bien que n’ayant pas réellement l’intention de se montrer aussi froide qu’elle pouvait l’être - Je … Nous en reparlerons plus tard. Je t’ai dis de ne pas m’appeler ici pour rien !Et pour me dire ça ?Pour me dire que tu veux voir cette femme – En vrai ?!Mon cœur s’emballe, je tremble. Je ne veux pas que tu l’as vois, ne veux pas que tu y échapper un léger soupir agacé, estimant qu’il fallait absolument qu’elle parte à présent si elle voulait avoir une dernière chance d’arriver à l’heure, Ludmila se leva alors d’un bon, laissant entendre ces derniers mots sur un ton plus doux mais non moins vif et quelque peu réprobateur, vis-à-vis du fait que Dominura l’avait appelé au travail simplement pour l’inviter à une conférence - Je dois y aller, Meredith m’ qu’une Je t’ Biiip Biiip Biiip ~Ludmila venait de raccrocher, complètement débordée et survoltée par toute cette agitation autours d’elle. ClacClacClacCourant à moitié dans les couloirs et les escaliers, Ludmila disparut donc rapidement de son bureau – dossier en main – afin de finalement parvenir pile à l’heure devant le bureau de sa patronne. Evidemment, ce que venait de lui annoncer sa conjointe ne semblait plus vouloir lui sortir de la tête, la troublant tout autant que l’ n’avons rien à faire à ce genre de n’avons rien à y faire, et je sais pourquoi tu veux y qu’est-ce que cela changerait, que tu l’a vois en vrai, bordel ?!Tu n’as pas besoin de la rencontrer. Tu n’as pas à être aussi enthousiasme à cette ne comprends pas ce que tu lui trouves, et m’énerve de mon côté, sans savoir comment m’arranger pour ne pas te laisser y aller seule. Il est hors de question que tu y ailles seule. Hors de question que je ne sois pas là pour vérifier que tu ne l’approcheras pas de trop es à moi, ne te laisserai pas continuer sur cette te récupérerais, mon es à moi. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Jeu 7 Jan - 120 Pas un instant la grande femme ne s'était attendue à une telle réaction de la part de son aimée, même si, au fond, elle se doutait bien qu'elle ne l'aurait pas dans ses bonnes humeurs, à ainsi la contacter de si bon matin alors que cela n'étaiot pas pour une affaire de la haute importance. Après tout, n'était-ce tout de même pas d'une certaine important, au fond ? Dans le coeur de Dominura, du moins. Elle qui avait été si heureuse de pouvoir proposer une sortie en compagnie de sa conjointe, elle se voyait remballée comme si elle lui avait dit quelque chose de parfaitement honteux, comme un voyage miteux au fin fond d'un quartier mal famé pour les vacances de noël. Comment cela, tu me renvoies de la sorte, comme si cela ne comptait absolument pas ?N'est-ce pas charmant, de ma part, de t'avoir appellée afin de te proposer cela ?J'aurais pu y aller seule, ou sans t'en pu demander à quelqu'un d'autre de m'accompagner. Qui ? Oh, j'aurais bien trouvé, si je l'avais nous ne faisons plus rien ensemble. Je voulais partager cet instant avec toi, mais tu n'as pas daigné vouloir y reconnaitre ma bonne volonté, mon enthousiasme et mon amour, comme jugeant cela odieux. Vois-tu seulement que si j'étais si euphorique, c'était de t'y convier ?De te voir ? De passer un moment avec toi ?Tu me blesses de tes refus étranges, comme emportés. Tu me blesses, à refuser de passer un peu de temps avec je comprends que tu aies beaucoup de travail. Et puis, au fond, je sais aussi que tu travailles le samedi... Mais ne me parles pas sur ce ton, s'il te plait... Je faisais ça pour toi... Je faisais ça pour nous, emportée par ma bonne humeur... Je n'avais pas calculé, excuse-moi. Je n'avais aucune intention de te déranger. Mais tu es si absente... Je ne sais plus ce que je fais. Je n'ai plus la notion du légèrement les lèvres, cherchant d'un côté à ne pas perdre sa bonne humeur, elle laissa alors entendre, un faible et navré"Ah euh... Oui je..."Mais déjà Ludmila lui demandait, nerveuse, à ce qu'elles en reparlent plus tard. Plus tard ? Mais... Ludmila ! La conférence est demain ! Tu ne me recontacteras pas ! Tu ne trouveras pas le temps ! Comment veux-tu que je fasse ? Je ne peux pas... Mais je prends sur moi. Oui, oui, tu as raison. Je n'aurais pas dû appeller. Excuses-moi. Je sais bien que je n'aurais jamais dû. Cela n'était pas n'était pas importantPour la grande femme put entendre, après un soupir pronomcé de la part de sa belle, qu'elle devait y aller. Meredith l'attendait ? Ah, oui, elle le savait bien. Maintenant, elle ne le redoutait même plus, quoiqu'elle gardât une certaine rancoeur au fond d'elle même, sans rien en dire. Finalement, d'une voix plus enjouée que déçue, quoiqu'il restâsse un fond de déçeption dans sa voix, Dominura répondit, comme souhaitant la bonne journée à la femme qu'elle aimait mais qui demeurait si loin "Ah, oui, excuse-moi, je te laisse-"Une fraction de secondes"Je t'aime chaton,Bon courage"Un je t'aime de l'autre côté, et le combiné fut raccroché, dans toute sa un instant interdite devant son téléphone portable qui se bornait à laisser entendre la même tonalité par longs bips consécutifs, Dominura finit par fermer les yeux, et pousser à son tour un profond soupir, se laissant tomber contre le dossier de sa regrets cependant. Elle n'avait absolument aucuns tords. Peut-être que Ludmila la rappellerait même dans la journée, comme dit, pour confirmer sa présence ou bien simplement lui laisser entendre qu'elle ne viendrait pas avec elle ? Si ce n'était pas le cas... Tant pis pour elle. Si elle préférait rester avec sa chère patronne plutôt que de prendre deux minutes pour passer un coup de fil, là était son problème, et non pas celui de l'Illustratrice, qui tentait de se convaincre que cette journée serait tout de même bonne, même après une telle m'importe peu, au ne vais pas à la conférence pour elle, n'est-ce pas ?La voir serait bien, très bien,Mais si elle s'en fiche, autant y aller toutes façons, je préfèrerais y aller seule plutôt que de l'y forcer et qu'elle n'en aie pas envie, qu'elle s'y c'est ça. Si elle ne vient pas, cela sera sans doutes mieux pour toutes façons, ce sont ses choix, elle en a le droit, non ?Personnellement...J' que n'y a pas de telles occasions tous les jours, n'est-ce pas ?Je serai dans ton public, Grace. Grace Sidnëather. Tu me verras, dans les doutes ne me remarqueras-tu pas,Mais moi,Je te verraiAvecOu sans tout, comme tu le dis, Ludmila, nous sommes si mon initiative ne t'as pas plue, libre à toi. Je pourrai bien y aller seule, si m'accompagner ne te dis pas.¤[ Lendemain ~ SAMEDI 30 Janvier ]¤La veille, Dominura avait reçu un appel de Ludmila, lui indiquant que finalement, elle voudrait bien l'accompagner à la doutes avait-elle réussi à se détacher de sa très chère patronne~En cette journée de samedi, l'Illustratrice avait travaillé toute la journée sans pauses sur ses créations, devant rendre un dossier à ses éditeurs dès le début de la semaine suivante. Heureusement, la conférence débutait à 17h45, ce qui lui avait laissé le temps de bien avancer dans son travail sur lequel elle s'était penchée sans relâche. Mais voilà que l'heure avançait, et, dès 16h, la préparation était de haute, maquillage habituel, chaussures à talons, bijoux d'argent et robe vert fushia, très classe, et Dominura était prête à partir. Un foulard, un manteau, son sac à main, et déjà était-elle en route pour la grande salle de conférence au centre de NewYork, afin d'arriver quelque peu en avance, tout de même Non seulement afin de s'assurer de bonnes places, mais aussi pour rejoindre Ludmila, à qui elle avait donné minutes dans le froid, Et déjà la grande femme tremblait, d'euphorie mais aussi d'impatience, quoiqu'aussi de froid et d'agaçement devant le retard de sa conjointe C'est Meredith, n'est-ce pas ?"Madame ?"La grande femme releva les yeux. Un jeune homme lui tendait un papier, sourire au visage."Oh, merci."Prospectus, au sujet de la conférence, jetant un oeil, la grande femme put en voir le sujet, mais également une magnifique photographie de la dénommée Grace, son équipe en arrière plan, la scientifique semblant travailler en compagnie des indigènes d'une tribu autochtone Australienne. Haussant légèrement les sourcils, Dominura garda le papier en tout, je suis ici pour suivre cette étude, n'est-ce pas ?Clac, reconnais, ces je relève la sourire ?Tu m'illumines,Même absente~Si ce n'est elle,Ou mes nouvelles passions. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Jeu 7 Jan - 227 Recommencer. Encore. Meredith n’étant pas tout à fait satisfaite de son travail, Ludmila n’avait plus qu’à reprendre son dossier, point par point, le modifiant au mieux. Et si le premier aurait pu paraître parfait pour qui que ce soit d’autre que sa nouvelle patronne, cette dernière refusa de la même manière le second, faisant travailler Ludmila jusqu’à très tard ce soir-là. Néanmoins, ayant bien réfléchit à la question, la jeune Russe trouva tout de même le temps d’appeler sa conjointe, lui promettant de sortir plus tôt le lendemain afin de l’accompagner à cette fameuse pouvait-on réellement savoir si Ludmila souhaitait y aller pour passer sur temps avec son aimée, ou pour la surveiller ? Sans doute un peu des deux, n’est-ce pas ? Evidemment, cela lui faisait plaisir de sortir avec Dominura, n’en ayant pas eu la possibilité depuis plusieurs semaines. Mais on ne pouvait nier que la jeune femme ait préféré quelque chose d’autre qu’une conférence où elle serait forcée à voir la femme qui semblait tant fasciner Dominura depuis son passage à la télévisons londonienne. Supporterait-elle seulement l’euphorie de sa conjointe ? Car au fond, elle le savait bien La belle française ne voulait aller à cette conférence que pour voir cette femme. Pourquoi ? Allez savoir ce qu’elle lui suis je t’en veux, au fond, de t’intéresser ainsi à cette scientifique, alors même que ce domaine ne t’avait jamais intéressé jusqu’à présent. Je voudrai que tu cesses de te renseigner à son sujet. Je voudrai que tu n’ais pas tant envie de la voir sur scène. Te rends-tu compte de ce que cela peut me faire ? Il me semble que Ludmila n’ayant rien dit de sa curiosité sur l’ordinateur de son aimée, ne pouvait absolument pas parler de cette affaire, estimant qu’elle avait sans doute alors plus de tors que son aimée à l’avoir ainsi espionné, cette dernière restant objectivement relativement innocente quand à ses recherches. Ainsi, Dominura ne se doutant de rien quand à la méfiance de son ancienne assistante, ne pouvait sans doute pas se rendre compte du mal qu’elle lui faisait, une grande partie de la nuit, ainsi que toute la journée afin de pouvoir se permettre de sortir à temps pour la conférence, Ludmila eut néanmoins quelques contretemps de dernière minutes, devant photocopier quelques documents à apporter à Meredith avant de finalement partir, plus tard qu’elle ne l’avait prévu. Passant chez elle afin de prendre une douche, se changer et se remaquiller, Ludmila se rendit rapidement compte qu’elle aurait plusieurs minutes de retard à son rendez-vous avec sa conjointe. Laissant ses cheveux blonds onduler sur ses épaules, enfilant une robe rouge à manche longues et resserrées aux poignets, col carré, cintrée et lui arrivant au dessus des genoux, ainsi que ses chaussures à talons rouge. Se maquillant d’une manière tout à fait habituelle tout d’abord, Ludmila décida finalement de rajouter une touche de far à paupière d’un rouge orangé assez sombre, mettant davantage en valeur son ses lèvres devant son miroir, s’y regardant non sans une certaine attention, Ludmila esquissa finalement un léger sourire satisfait, à présent prête à partir. Il n’y avait pas à dire La jeune Russe était particulièrement belle, en cet après-midi de fin janvier. Sans doute cela était-il prémédité ? Certes. Ludmila attendait beaucoup de cette sortie. Elle attendait, et craignait de voir que sa conjointe puisse s’intéresser plus à Grace qu’à veste noire par-dessus sa robe, elle-aussi cintré et arrivant à une dizaine de centimètres au dessus de cette dernière au niveau de ses jambes, son sac à l’épaule, Ludmila arriva donc - à pieds - devant la salle de conférence avec une quinzaine de minutes de retard. Remarquant immédiatement sa conjointe, Ludmila – de loin – la regarda poser son propre regard sur le prospectus qu’un jeune homme venait de lui tendre, non sans se douter qu’il s’agisse d’une publicité concernant la conférence à laquelle elles allaient relevant la tête en un adorable sourire, Ludmila ne manqua pas de lui rendre – malgré une certaine appréhension méfiante – se rapprochant d’elle avec classe et calme, non sans la désirer du es belle, mon pouvoir te le pouvoir t’ quelques personnes passent, ici. Elles passent et pourraient te reconnaître, n’est-ce pas ? Oh, remarquez … Les scientifiques ne s’intéressent pas à l’art, n’est-ce pas ? Hésitant un instant, regardant furtivement autours d’elle afin de vérifier que personne ne les regardait avec trop d’attention, Ludmila s’approcha davantage de son aimée, passant ses mains sur ses joues glacées par le froid avant de déposer un simple mais doux baiser à la surface de ses mon Ange. <3Tremblante de froid, Ludmila ne garda pas bien longtemps ce lien avec sa belle, rapportant ses mains à elle en les triturant un instant afin de les réchauffer. Puis, n’osant pas dire qu’elle avait été retenue plus longtemps que prévue par sa patronne, la jeune Russe laissa alors entendre, malicieuse et enjouée, malgré les circonstances qui ne lui plaisaient guère - Mieux vaut tard que jamais ~ Non ?Tu vois, je suis en retard, certes, mais je suis venue, n’est-ce pas ?Un léger sourire en coin, et Ludmila mordilla sa lèvre inférieure, provocante – Espérant sans doute que son retard passerait vite dans l’oublie, mais aussi que sa belle n’ait tout de même pas attendue trop longtemps échapper un léger rire – non sans laisser deviner une très légère gène malgré une confiance en elle si exubérante qu’elle en était douteuse – la jolie blonde passa alors l’une de ses mains sur l’avant-bras de sa conjointe, retrouvant un sourire calme avant de proposer - On y va ?Au fond, je suis très heureuse de te si le fait de venir voir cette femme ne m’emballe pas énormément, je sais qu’il n’arrivera rien. Je sais qu’elle ne t’approchera pas, car je serais là. Suis-je en train de douter de toi ? Je ne sais plus si je peux avoir confiance, tant notre relation est étrange et instable ces derniers au fond ;Oui, j’ai sais que tu ne ferais jamais sais que tu ne désirs que que personne ne te désir autant que moi. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Jeu 7 Jan - 2003 Lorsque la grande femme avait levé la tête, son regard se posant sur sa conjointe qui se dirigeait alors vers elle, elle ne manqua pas de lui offrir un magnifique sourire, tandis qu'elle rabaissait le prospectus représentant la splendide photo sur le sujet de la conférence, le mettant dans son sac sans y prêter tellement attention. Je te vois arriver, et je t'observe, Ludmila, alors que tu me parais toutefois encore si t'arrives-t'il, ces derniers temps ?J'ai l'impression que tu es tantôt bien plus proche que d'habitude, tantôt bien plus loin, avec ta présence en façade seulement. Et, bien que je te souris, mon coeur est en fatigue. J'ai mal, de nous voir ainsi. Au fond, tu ne désirais pas venir avec moi à cette conférence, n'est-ce pas ? Alors, pourquoi t'es-tu forcée ? Pourquoi m'as-tu fait subir ton retard, si en plus tu ne viens qu'à contre coeur ? Je ne comprends pas bien. Je ne comprends pas je te souris tout de même, car au fond je suis vraiment heureuse de te voir, de pouvoir partager ce moment avec toi, même si tu n'as pas l'air d'être exactement toi-même, quoi que tu essayes d'en montrer. Je t'aime, sais-tu encore ?Et puis tu es belle. Tu es si belle, alors que je le remarque, les yeux rivés vers toi. Une bouffée de châleur, un frisson imperçeptible me passant dans tout le corps J'aimerais tant te montrer mon amour, je voudrais tant t'embrasser, et t'en souhaiter le bonjour. Mais cela ne serait pas raisonnable, n'est-ce pas ? Toute cette foule, tous ces gens, autour de nous. Et pourtant, je vois, alors que tu te rapproches, que tu as cette idée en tête Je l'approuve, et souris encore, cette expression illuminée demeurant sur mon visage brillant d'attention. Frisson, sous tes mains glaciales alors que les miennes le sont plus encore, à être restée un quard d'heure, sinon plus, dans ce froid à t'attendre, sans oser rentrer me mettre au chaud dans le hall de l'immense salle. Et je relève les yeux vers toi, laissant mes lévres s'étendre attention,Un bref baiser,Et j'en suis contente, Suffisait-il de petit chat. Quel plaisir de te les premières paroles de Ludmila se firent entendre, avant même un bonjour, tandis qu'elle ramenait ses mains à elle, les triturant comme presque vaut tard que jamais, Non ?Le sourire de Dominura se figea un instant, alors qu'elle avait machinalement rapporté sa main à la anse de son sac, l'attrappant alors avec une certaine tention. Mieux vaut... tard, que jamais ? Ahah. Ah, ah ah... Mieux vaut tard que jamais ? Et tu me dis cela d'un tel ton, sans vraiment te soucier de moi, sans me souhaiter le bonjour, alors que tu arrives comme une fleur pendant que je tente de me remettre de mes quinze longues minutes à attendre dans ce froid polaire aggrémenté d'un vent absolument attroce ? Et tu me dis ça, enjouée, alors que je sais très bien que tu n'avais pas, au fond, l'envie de m'accompagner ? Mais qu'est-ce qui te passe par la tête, Ludmila ? Comment veux-tu que je prennes cela bien ?Et pourtant, je te souris toujours, élargissant même, partageant ta malice, mes yeux se plissant sous le réhaussement de mes pomettes, brillants d'une lueur bizarre, tandis que je laisse entendre, adorable"Ahha, Ouiiiiiiih, exactement~"Et pourtant, interieurement, je te maudis, de m'avoir fait entendre de telles préféré un bonjour Je ne t'aurais rien repproché de ton j'aurais peut-être finalement préféré que tu ne viennes pas, plutôt que cela soit fait avec si peu de coeur. Crois-tu vraiment qu'il sera agréable pour moi d'assister à cet évènement tout en sachant que tu y ennuieras sans doutes, tout en sachant que tu aurais peut-être même préféré rester à ton travail plutôt que de venir avec moi ? Je sais bien que tu n'es pas enthousiaste à cette idée Tu aurais dû me le refuser ne t'en aurais pas main de Ludmila sur son avant bras, le sourire de Dominura se transforma en un autre, moins distant, plus naturel, tandis qu'elle tentait de retrouver un rythme cardiaque relativement normal, s'il était possible de faire la part des choses entre cette rancoeur étrange et sa terrible surexcitation de la magie des lieux et la promesse de moments y va ? Acquiesçant, la grande femme laissa entendre, retrouvant un peu plus de son enthousiasme initial, quoiqu'encore un peu butée par ce qu'elle prennait presque pour de l'hypocrisie de la part de sa conjointe"Oui ! Comme ça, l'on pourra avoir de bonnes places, et être certaines de rentrer... Il faut que je touche deux mots à la personne de l'acceuil, c'est elle que Bernard a contactée pour nous !"Finalement, entrainant la belle russe derrière elle, par la main, elle se rendit au guichet, où passaient déjà des tonnes de gens, intellectuels ou simplement invités, tous munis d'un badge ou d'une carte d'accès, en un flux impressionnant. Lorsque vint le tour de Dominura, cette dernière annonça l'histoire, ainsi que leurs noms, et l'entrée leur fut permise. Souriant à nouveau d'une euphorie contrastée avec le calme paisible de la plupart des visages des autres personnes autour d'elles, l'Illustratrice mena Ludmila avec elle, gagnant la salle et y entrant Celle-ci était disposée en un gigantesque amphithéâtre plus que confortable, avec plus d'un millier de places assises."Woahh... C'est immense !"Rien que cette grandeur me donne le vertige."Par là ?"Un sourire, et la grande femme passa dans les rangs, accompagnée de son aimée, cherchant la meilleure place, celle là même où elles pourraient avoir une des meilleures vues sur l'ensemble de la scène, mais également Grace elle-même. Hop, hop, plutôt les devants, quoiqu'un peu plus haut, puis le centre des sièges. Parfait. Jetant un regard autour d'elle, alors que la salle se remplissait des plus rapidement, Dominura finit par laisser sa main passer sur celle de Ludmila, un grand sourire aux lèvres, les yeux suis tellement heureuseD'être là avec tellement excitée !Voilà une nouvelle conférence,Et ce n'est pas moiSur scène~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Jeu 7 Jan - 2146 Ludmila n’avait-elle pas envie d’assister à cette conférence ? Oh, sur ce point, la jeune Russe était relativement partagée. A la base, si elle ne songeait qu’au sujet de cette dernière, la jeune femme était relativement neutre, appréciant le domaine des sciences sans pour autant en être attirée plus que cela. Point positif Elle pouvait enfin passer un peu de temps avec son aimée. Point négatif Ce temps serait certainement gâché par sa propre attitude, brûlant de méfiance et ne venant ici au final que pour surveiller Dominura vis-à-vis de cette fameuse vaut tard que jamais ? En effet, ça n’était pas du genre de Ludmila que de laisser entendre ce genre de phrases toutes faites et particulièrement désagréable étant donné les circonstances. Mais la fatigue et l’appréhension de ce rendez-vous de plus spéciaux la rendaient des plus nerveuses, bien que sur son visage n’apparaisse que confiance et enthousiasme. Hypocrite ? Peut-être un peu. Mais tu ne l’es pas moins, tandis que tu me réponds, n’est-ce pas ? Pourquoi en venons-t-on à faire ainsi semblant ? Je ne sais pas. Je ne sais absolument pas. Ton sourire s’élargit, la lueur dans te yeux me semble étrange, et mon cœur se n’aurai pas dû tout, je n’y étais pas obligée, n’est-ce pas ?Je sais, que tu ne m’en aurais pas au fond, je sais que je n’avais rien à craindre à te laisser y aller tout de même … Tu me manques, tu les mots de sa conjointe alors que ses yeux restaient posés sur elle avait une certaine détermination faussement enjouée, Ludmila esquissa néanmoins un léger sourire plus sincère, attendit malgré elle par l’enthousiasme bel et bien réel de sa conjointe quand à cette future conférence. D’un côté … Cela n’était pas si grave, n’est-ce pas ? Ludmila n’avait qu’à prendre un peu de recul, pour finalement se rendre compte que la soudaine passion de Dominura pour Grace pouvait être anodine, si elle la prenait comme telle. Pourtant, une fois à nouveau prisonnière de ses pensées, la jolie blonde ne pouvait que se laisser entraîner par les doutes, craignant que Dominura ne persiste sur cette voix, alors même que leur propre relation commençait à réellement battre de l’aile. Tu es ne veux pas te perdre.…Serrant la main de l’illustratrice dans la sienne, Ludmila se laissa donc entraîner à l’intérieur, restant quelque peu en arrière lorsque Dominura passa au guichet, négociant rapidement leur entrée. Hop. Hop. Visiblement, Bernard avait encore fait du bon travail, les deux jeunes femmes n’ayant aucun problème à entrer dans cette immense salle de conférence. Ayant intérieurement la même réaction que sa belle en y pénétrant, Ludmila leva légèrement la tête, regardant tout autours d’elle en retrouvant alors un certain calme, bien plus là ? Comme tu un très fin sourire en un hochement de tête positif, Ludmila suivit alors sa conjointe entre les rangs, parfaitement satisfaite de son choix lorsqu’elles s’installèrent enfin. Retirant son manteau – le laissant derrière elle – la jeune Russe dévoila alors entièrement sa jolie robe rouge – neuve, elle aussi – se laissant une seconde s’adosser contre le dossier de son siège, fermant les yeux en un léger soupir d’épuisement, presque suis à force de à me poser tant de questions à notre la main de son aimée se poser sur la sienne, Ludmila haussa légèrement les sourcils, ré-ouvrant les yeux tandis qu’elle se tourna doucement vers Dominura, hésitant un instant – troublée par le manque de sommeil et le fait qu’elle ne savait plus trop bien pourquoi elle était là – la jolie blonde lui adressa néanmoins un léger sourire, se redressant quelque peu avant de passer sa main libre sur sa joue, tendre et douce, et de l’embrasser à la surface de ses lèvres, simplement. Restant un instant ainsi, bien que son visage se s’éloigne de quelques centimètres, Ludmila s’accrocha alors au regard de sa conjointe, se montrant à présent plus sincère qu’elle ne l’avait été depuis son plus sourire, Ludmila regardait donc avec la plus grande attention dans les yeux de son amour, y cherchant sans doute une solution à tous ces conflits entre elles, dissimulés ou non. Regard intense, profond et qu’il nous arrive ?Peut-on seulement faire de véritables efforts pour que tout aille mieux ?Je ne sais pas si j’y ne sais pas comment m’y légèrement ses lèvres entre elles, Ludmila caressa tendrement la joue de son aimée en y faisant glisser le bout de ses doigts, les repliant amoureusement contre sa peau si douce. Puis un fin sourire apparut à nouveau sur ses lèvres rouges, avant que la jolie blonde ne se détache complètement de la charmante française, détournant son regard vers la salle toute entière, remarquant que cette dernière se remplissait à une vitesse y a tant de se tournant pour la nième fois vers Dominura, Ludmila se releva doucement, lui laissant furtivement entendre qu’elle revenait dans une minute, préférant passer aux toilettes avant le début de la conférence. Chose qui était tout à fait raisonnable, et sans aucune arrière-pensée négative, évidemment. La jeune femme préférait simplement ne pas avoir à se lever en plein milieu de la conférence pour se genre de chose, risquant de déranger les personnes aux talons traversèrent les rangs, descendant sur la droite de la salle afin donc de se rendre dans les sanitaires, traversant un long et classieux couloir avant de finalement y parvenir. Le ventre noué de stress sans trop savoir pourquoi, la jeune Russe faisait au mieux pour ne pas se laisser abattre par la fatigue et langoisse, estimant à présent qu’il était temps pour elle de faire des efforts pour faire revenir Dominura à avant. Regardes-moi, comme un rapide passage aux toilettes, donc, Ludmila ne manqua pas de se laver les mains, puis passa à nouveau dans ce grand couloir, où elle croisa cette fois-ci le regard de cette femme qui la fit ralentir le pas. Ses yeux se figeant sur la fameuse Grace – présente ici on ne savait trop pour quoi – ceux de cette dernière quand à eux continuèrent leur chemin, passant à nouveau sur quelques personnes qui sans doute devaient être ses collègues Je ne veux pas que vous interveniez sur ce point là, vous n'étiez pas sur les lieux donc je refuse que vous blablatiez seulement avec pour base des rapports scientifiques et non pas des expériences humaines. »Sentant son sang bouillonner en elle, d’une certaine amertume qu’elle ne pouvait contrôler, Ludmila suivit cette femme du regard jusqu’à ne plus le pouvoir, passant à côté d’elle non sans remarquer quelques aspects de sa personne qu’elle avait déjà pu constater sur les photographie visibles sur la intelligente et ! Passant son chemin, ses talons claquant le sol plus rapidement une fois Grace dépassée, Ludmila retrouva rapidement l’immensité de la salle de conférence, montrant gracieusement les marches tout en songeant à cette scientifique qu’elle venait de croiser par pur hasard. Devait-elle réellement se méfier d’elle ? La jolie blonde n’en savait rien, au fond. Mais voir cette attitude parfaite et on ne peut plus respectable la forçait inévitablement à s’y comparer quelque peu, n’ayant alors aucun doute sur le fait que sa conjointe se sente plus rassurée auprès d’une femme comme Grace qu’auprès d’ donc Dominura, se réinstallant à sa place – soudainement plus pâle – la jeune Russe laissa son regard se poser sur sa belle, croisant les jambes tandis qu’elle laissait entendre, non sans se cacher du fait qu’elle se doutait d’une réaction particulière de la part de Dominura, l’épiant sans aucune gène et laissant un léger sourire en coin la provoquer quelque peu à ce sujet - Je viens de croiser légèrement les sourcils, Ludmila ajouta alors, ne pouvant s’empêcher de se montrer quelque peu moqueuse, de son sourire comme de son ton, montrant alors bien à sa belle qu’elle avait compris sa nouvelle passion pour cette femme, cherchant sans doute inconsciemment à la tester - Elle est magnifique. Sûrement cela était possible, n’est-ce pas ? Mais Ludmila ne le pensait pas, et cela se voyait. Cela se sentait. Pourtant, ses intentions n’étaient pas des plus mauvaises, tandis qu’elle laissait entendre ceci. N’était-ce pas par ailleurs un moyen de se rapprocher de Dominura, en lui laissant comprendre qu’elle savait pourquoi elles étaient là, au fond ? Certes, la manière n’était pas des plus agréables – Mais Ludmila faisait au mieux, n’ayant pas la force de rester sérieuse à ce sujet, de peur de ne plus savoir comment réagir par la carapace moqueuse et sarcastique lui permettait au moins de ne pas perdre la face, tandis que son cœur se déchirait de doutes, l’enthousiasme de Dominura et la simple vision de Grace en chair et en os en venant sérieusement la rendre mon vois-tu pas que je n’ai besoin que de t’entendre direQu’elle n’a pas d’importance ? Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Jeu 7 Jan - 2305 La grande femme, une fois à sa place, n'en bougea plus, a part pour se tounrer vers sa belle, qui, après un furtif baiser, lui annonçait qu'elle passerait rapidement aux toilettes avant que la conférence ne commence. Ah ? Euh, oui, si tu le veux, oui. Souriant très simplement à son aimée, la grande femme acquiesça ses propos et lui assura qu'elle garderait un oeil sur son sac, vous pouvez vous en douter, Dominura était alors bien loin de s'imaginer que Ludmila, d'un charmant concours de circonstances et de coincidences, croiserait la dénommée Grace dans les couloirs du bâtiment. Demeurant sur son siège, entre l'exaspération face au compotement de son aimée et l'euphorie complète d'être en un tel lieu pour cet évènement, elle finit par prendre son sac sur ses genoux et fouiller à l'interieur. D'abord, un chewing-gum à la menthe, simplement pour se destresser un peu de son trop plein de surexcitation, puis elle attrappa, du bout des doigts, le prospectus au sujet de la foi, cela avait l'air des plus Ludmila se bornait-elle donc à ses hypocrisies ? Cela ne pouvait que replacer entre elles plus de gêne à être ensemble, n'est-ce pas ?Je le savais... Que je n'aurais pas dû te demander de venir. Je m'en veux tellement, de t'imposer ça. Mais d'un autre côté... Cela me tenait tellement à ça, Avec peux-tu pas comprendre ?Un sourire à l'image tout à fait prennante figurée comme photographie, et Dominura replaça le papier dans son sac, avant de reposer ledit sac à ses pieds, regardant un peu autour d'elle, non sans se faire quelques remarques d'émerveillement devant cette salle qui se remplissait à une vitesse extraordinaire. Parmis le public, des scientifiques, des ethnologues, biologistes, chercheurs, explorateurs, mais également passionnés, abonnés, membres d'associations spécialisées, journalistes interessés De quoi impressionner l'illustratrice, bien entendu, tandis qu'elle reconnaissait le visage d'une ou deux personnes qui étaient une fois venus l'interviewer pour des journaux de la ville ou des articles spécialisés dans l' un sourire ému par tant de public, dont elle faisait partie pour l'occasion, elle ne tarda pourtant pas à se remettre droite sur son siège, dégainant son téléphone portable, adorable¤Nous sommes à la conférence !! Elle n'a pas encore commencée, mais nous sommes bien installées. Merci encore, Berny ! Je te raconterai tout !Râ~¤Hop, un petit Ludmila ne mit pas trop de temps, et déjà était-elle de retour, se faufilant dans le rang pour retrouver sa place auprès de sa conjointe, la sage mais enthousiaste trentenaire qui avait fait fi de ce qu'elle avait pu voir de négatif en Ludmila depuis qu'elle l'avait rejointe devant la salle de conférence. Tout va bien, petit chat ? Tu sembles pâle, si pâle... Engageant un mouvement de main pour prendre celle de son aimée, Dominura s'arrêta net dans son mouvement lorsqu'elle vit les yeux de cette dernière se poser sur elle, ceci étant accompagné d'un sourire en coin abominable ainsi que de quelques paroles aussi vantardes que provocantes, pour le moins déplacées et absolument immaturesJe viens de croiser mouvement donc arrêté, Dominura haussa simplement les sourcils, sa bouche demeurant en son sourire dévoilà ses dents, comme figé presque positivement Ah oui ? Mais c'est merveilleux !!Sans doutes était-elle prête à l'envier, même à lui poser des questions, ou plaisanter sur le sujet, mais Ludmila, n'ayant sans doutes pas encore fait assez d'histoires à son goût, lui lâchait quelques nouveaux propos, bien pires encore. Elle est magnifique, sûrement Dominura referma la bouche, son sourire éteincellant se perdant en un regard observateur et plus distant. Les propos ne la touchaient pas. Pas du tout. Seul le ton et le sourire moqueurs de Ludmila venaient de la toucher en plein coeur. Quoi ? Non seulement tu te fous complètement de moi, mais en plus tu me fais payer le fait que tu ne voulais pas venir, alors que je t'avais laissé le choix ?Mais qu'est-ce qui te prends !!Tu ne penses rien, rien, de ce que tu dis. Entends-tu seulement le ton que tu emploies ? alors sa main et la rapportant à elle en laissant ses yeux passer de ceux de Ludmila au bas de son visage, comme l'analysant jusque dans le fuel qui se répandait de sa bouche chargée d'immondices, Dominura haussa à nouveau les sourcils, d'une dédaigneuse maturité, comme faisant comprendre par le regard avant tout que cette moquerie était parfaitement mal placée, voire absolument dégueulasse dans ces circonstances, sans pourtant l'en rabaisser. Finalement, quelques mots s'échappèrent de sa bouche, tout simplement"Je n'ai ni besoin de tes moqueries, ni de ton hypocrisie, et encore moins de tes sarcasmes, Ludmila"Tournant la tête, ses cheveux bruns virevoltant un instant avant de retomber paresseusement contre sa nuque, la grande femme laissa ses yeux vert sombres se poser sur la scène encore vide, alors que toute euphorie semblait s'être éteinte, les lèvres pincées d'une frustration terrible Tu te moques. Tu te moques de moi, et me le montres ouvertement. Quand grandiras-tu, Ludmila ? Quand cessera-tu de m'envoyer ainsi tes sarcasmes dont je me passerais bien, pour ma santé tout autant que notre bien-être ?"Je ne sais pas ce que tu cherches mais tu es tout simplement odieuse..."Tu as raison sur un pointCette femmeEst sûrement toi, tu es odieuse. Odieuse, d'ainsi te moquer, d'ainsi la tourner en ridicule, d'ainsi me repprocher de seulement avoir eu l'envie d'assister à cette conférence. Ne me crois-tu pas capable de m'interesser à ce sujet ? Oh, je le suis bien plus que tu le ne supporte plus ces sourires en coin que tu me laisses voir tandis que tu me passes en dérision, alors que tu me laisses clairement comprendre que mon interêt est, de ton point de vue, superficiel. Me trouves-tu superficielle ?Ah, ah, bien au contraire, Ludmila !Et si tu te caches derrière ce voile d'imaturité, j'ai besoin de plus. J'ai besoin de stabilité. De vérité. De mots. De franchise. J'ai besoin de réactions claires, et non pas de caprices d'adolescente. Je ne veux plus avoir affaire à tes airs satisfaits lorsque tu me parles, et tes vengeances qui me blessent pas à comprendre que je t'aime à ton naturel, et non lorsque tu te caches derrière tes carapaces de moquerie et de sarcasmes déformés par la jeunesse ? Cela me fatigue. Cela me fatigue...J'ai mal et me blessePrends ma mainEt dis moiQue tu ne te moquais pas de moiDis-le moiQue tu m'aimesQue tu ne veux pas mon malJe ne peux pas te rassurerSi tu m'attaquesEt comment puis-je te direQu'elle n'a pas d'importance,Si tu agis ainsi ?Inconsciemment, chaque pas que tu fais contre elle, contre moi,M'en rapproche un peu plusEt me rapproche du besoin nouveauD'avoir affaire à des personnes qui ne me considèreraient pas comme un acquisEt me laissent comprendre leur amour pour moiTout en cherchant à me garderAller de l'avantEncoreEt encoreJe ne sais plus où j'en suisEt tes réactions me troublent d'avantageM'envoient sur des pentesQue jamais alors n'aurais-je pu quoi ses lèvresSeraient-elles différentes des tiennes ?Pour le savoir,Il faudrait y goûter~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Ven 8 Jan - 008 Croiser le regard de Grace n’avait sans doute fait que renforcer en Ludmila une certaine amertume envers cette dernière, lui donnant davantage de force et de confiance en elle tandis qu’elle parvenait à se persuader que cette femme ne valait rien, comparée à elle. Après tout, elle n’avait rien de plus qu’elle. Rien. Si ce n’était une quinzaine d’année de plus au minimum, n’est-ce pas ? Aha. Oui, sans doute est-elle exceptionnelle. Mais cela n’a pas d’importance. Je sais bien que ces mots ne sortent de ma bouche que pour t’atteindre. Peut-être … Te faire comprendre que je vois et n’accepte pas le fait que tu sois soudainement prise de passion pour cette femme ?Regarde autours de toi ! Il n’y a que scientifiques et journalistes, ici ! Nous n’avons rien à faire à cette conférence. Ca n’est pas ton monde. Ca n’est pas notre monde, Dominura !A l’arrêt de sa conjointe, Ludmila n’avait pourtant pas manqué de continuer, regardant Dominura de cette intensité moqueuse et certes immonde, ne cillant plus, retrouvant doucement mais sûrement quelques teintes rosées sur ses joues. Ce qu’elle venait de dire n’avait rien de purement méchant, au fond. Elle laissait simplement les mots s’échapper, sans réfléchir, osant croire que la belle française pourrait comprendre qu’elle se sentait réellement mal à l’aise quand à la n’aurai pas dû venir ? Je n’avais pas le choix, Dominura ! Te laisser y aller seule aurait été une véritable torture, pour moi ! Tu ne sais pas, tout ce que j’ai vu. Tu ne sais pas, que mon regard s’est promené sur l’historique de ton ordinateur, observant les photos et articles que tu as pu consulter ces dernières semaines, ces derniers mois. Tu crois peut-être que je ne me rends compte de rien ?! Et j’ai envie de hurler, de te secouer, pour te faire enfin ouvrir les yeux, plutôt que de me regarder de cette nouvelle distance, dédaigneuse et te donnant ces airs de femme mature que tu n’es pourtant pas plus que moi, à jubiler ainsi de simplement assister à une conférence de cette n’est pas moi, qui passe mon temps à chercher maintes informations de quelqu’un qui n’est pas celle que j’aime, sur internet ! Ca n’est pas moi qui te provoque, en t’invitant à l’une de ses conférences ! Certes, Ludmila exagérait sans doute, ses pensées divergeant tandis que le fait que Dominura ramène ainsi sa main à elle lui avait retourné le cœur, nouant son ventre d’une douleur étrange entre culpabilité et angoisse. Néanmoins, extérieurement, la jeune Russe restait incroyablement sûre d’elle, la tête haute et toujours ce sourire en coin aux lèvres, bien que ses yeux ne se soient mis un instant à briller d’un léger trouble. Je n'ai ni besoin de tes moqueries, ni de ton hypocrisie, et encore moins de tes sarcasmes, Ludmila. »A ces mots, Ludmila sentie son cœur se serrer davantage, et dû cette fois-ci se résoudre à fuir le regard de son aimée pour ne pas perdre cette confiance exécrable qu’elle plaçait en elle, levant les yeux au plafond avant de se retourner face à la scène en un soupir, presque en même temps que la charmante française. Soupir d’exaspération, de fatigue. Soupir de lassitude. Tu ne comprends rien. Comme d’ son sourire, fronçant à présent les sourcils tandis que ses yeux se baladaient maladroitement sur la scène vide, Ludmila croisa ses bras sur ses jambes – elles-mêmes déjà croisées, donc – avant d’entendre à nouveau quelques paroles provenant de cette femme qu’elle aimait tant, mais avec qui elle ne parvenait plus à communiquer depuis déjà trop longtemps, et plus encore ces derniers jours. Je ne sais pas ce que tu cherches mais tu es tout simplement odieuse... »Etouffant un très léger rire sarcastique à ces mots, sans doute seulement audible par Dominura et l’autre voisin de la jolie blonde – qui avait alors droit à une scène de ménage en plein milieu d’une salle de conférence – Ludmila détourna vivement la tête sur le côté opposé à celui où se trouvait Dominura, vers le bas, comme en un spasme nerveux qu’elle n’avait pu tu ne sais pas ce que je cherche. Tu ne sais jamais rien. Tu ne veux pas comprendre ! Si je suis odieuse, c’est uniquement par ta faute. Je ne comprends pas pourquoi tu as tant voulu que nous venions ici. Je ne comprends pas ce que tu trouves à cette femme, et la simple idée que tu puisses t’intéresser à elle d’une quelconque manière me rend malade de jalousie. Faut-il vraiment que je te le dise ?! Tu n’as qu’à comprendre, bordel ! Ca n’est pourtant pas si compliqué. Ou peut-être ne veux-tu simplement pas comprendre, au risque de devoir avoir une quelconque faute de ta part ?Tu sais, que ça n’est pas bon pour notre sais, que rien ne justifierait cet intérêt pleine d’une rancœur nouvelle – bien que très certainement passagère – Ludmila restait donc ainsi silencieuse, tournée de telle sorte qu’elle ne pouvait quasiment plus rien voir de Dominura. Fermant un instant les yeux, passant une main dans ses cheveux en une inspiration plus profonde afin de ne pas perdre son calme, la jolie blonde ne bougea pas pendant plusieurs longues secondes, prenant bien en compte les paroles de sa conjointe et tentant tant bien que mal de reconsidérer les suis-je allée trop loin. Mais pourquoi le prendre si mal ? Je plaisantais, Dominura. Tu sais bien, que mon ton ne reflète pas réellement mes véritables pensées. Visiblement, non. Et savoir que tu n’es pas capable de le comprendre comme je l’aurai voulu me fait si mal. Je voudrai tant que tu comprennes. J’ai besoin de sentant partir sur une tout autre pente, ses yeux se mettant à briller de quelques larmes d’angoisse à l’idée de perdre son aimée, Ludmila se retourna alors soudainement vers cette dernière, fuyant néanmoins son regard. Rapidement – et non sans une certaine maladresse liée au stress et à la fatigue – la jeune femme passa ses bras sur la taille de son aimée, se blottissant dans ses bras tout comme son visage se blottissait dans son cou. Evidemment, dans ces sièges – des plus confortables malgré tout – cela n’était pas des plus pratiques. Mais tandis qu’elle sentait sa carapace se briser sous les précédents mots de Dominura, Ludmila ne pu s’empêcher de se rapprocher d’elle ainsi, sans un mot, fermant les yeux et s’enivrant de sa délicieuse et rassurante odeur afin de se suis de ne pas savoir te dire à quel point je le gorge est nouée, douloureuse et sèche. Il ne faut surtout pas que je craque le moindre mot, La moindre déclaration de mes réels sentiments,Me pousserait à ma ne voulais pas te ne voulais pas te mettre mal-à-l’aise,Ni même gâcher cette te promets, mon Amour,De faire plus d’ te ferais plus confiance, s’il le ne me moquerait plus par simple méfiance de cette femme,Ni même de l’intérêt que tu lui pourquoi ne veux-tu pas me rassurer ?Pourquoi fais-tu comme si notre présence ici était tout à fait normale ?… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Ven 8 Jan - 120 Maintenant, j'ai les yeux rivés sur la scène. Maintenant, je me contente de t'avoir à mes côtés, sans plus même y épprouver quoi que ce soit d'autre que de la gêne. Je ne comprends pas ce qui te prends, Ludmila. En effet, je ne comprends pas. Mais de ton côté... Ne me troubles-tu pas, à ainsi laisser entendre ces sarcasmes sans même t'expliquer ? Tu ne cherches pas à me faire ressentir ce que toi tu ressens. Tu ne cherches pas à me faire comprendre, comme si les attaques, les batailles, étaient les seules choses qui étaient possibles entre nous, dans la conversation et la compréhension de l' tu ne me dis ne comprends pas, mais tu ne me dis ne suis pas omnisciente, ni n'ai de troisième oeil Comment veux-tu que je devine tout cela, toute seule ?Et tes aggressions, tes moqueries, ne font que te décrédibiliser davantage, me faisant me renfoncer dans mon incomprhéension, et, pire encore, ne me permettant pas d'être en état de vouloir chercher ce que tu as à dire, derrière ces masques que tu me brandis à tout va, d'une façon des plus je sais bien, au fond, que tu ne cherches peut-être pas à mal. Mais en suis-je certaine ? Le doute demeure encore, alors que je sens tes repproches se poser sur moi, mêlés à ce rire que j'entends de ta bouche et qui ne manque pas de me pousser aux violences. J'ai envie de te frapper. De te faire comprendre à quel point tu es odieuse, mauvaise, à mon égard. Comment oses-tu seulement rire de moi dans ces circonstances ?Qui, de nous deux,Part le plus dans ses emportements ?Je ne crois pas que chercher des informations sur quelqu'un soit un grand tors, en soi. Pas plus peut-être que de se névroser au travail à parler de sa patronne sans arrêt, n'est-ce pas ? Pas plus que se prendre la tête sur de parfaites sottises ? Je suis fatiguée, alors que je ne vois pas même ton excès, le mien. Certes, j'ai beaucoup cherché. Mais sans doutes est-ce là une nouvelle passion pour ce genre de domaine, avec Grace en tête, comme modèle, source d'humanité et de base parfaitement stable, aux allures si fortes ?Je ne sais pas exactement ce que tu ressens vis à vis de cela. As-tu vu quelque chose ? Quoi que ce soit, qui puisse justifier un tel comportement ? Rien, non, ne pourrait donner raison à des réactions aussi mauvaises. Tu me dis tellement immature, mais crois-tu qu'une passion est source d'immaturité ? J'ai seulement besoin de me rassurer. Me rassurer dans ma vie, me dire que, peut-être, pourrais-je un jour faire quelque chose d'aussi merveilleux que toutes les actions de cette femme dans le monde. Ces études. Ce sont là synonyme de je veux veux aller de l' trouves là mon symbôle, peut-être le tournant de la page pour une nouvelle veux aller de l'avant, comprends-tu ?Avec toi. Evidemment. Je voudrais ne jamais te Serais-tu prête... A le faire, avec moi ?Le voudrais-tu seulement ?Je ne veux pas de sans doutes ce que j'admire le plus chez cette femme est qu'elle a cette experience de la vie. Elle n'est pas dans la complaisance, ni même dans l'acquis. Sans cesse, elle prends attention des autres, se remet en question, progresse, survis, étudie, pour aller toujours plus en repos. Jamais sur ses Plus loin. Et pour son plus grand bonheur, ses merveilleuses satisfactions, Ses émotions de la la vraie je l' l'envie, et trouves cela comment te le dire ?Tu ne voudrais pas comprendre. Tu ne voudrais même pas savoir... Que je désire aller plus en avant encore. Dans ma notre vie....Finalement, après un instant de silence plutôt froid, la belle Ludmila finit par se retourner à nouveau vers sa conjointe, tandis que cette dernière, les lèvres pincées de trouble, gardait les yeux rivés sur la scène encore vide. Puis, finalement, contre toute attente, la charmante blonde se pencha vers l'Illustratrice, passant ses bras autour de sa taille et calant la tête dans son cou. Que... Ludmila ?!Se retournant alors quelque peu vers sa conjointe, haussant les sourcils de surprise, non sans accompagner cette expression d'un entrouvrement de lèvres adorable, la grande femme laissa alors ses mains passer sur les épaules de son aimée, tandis qu'elle fermait les yeux, un instant, se concentrant sur elle, sur son odeur, sur tout ce qu'elle avait de merveilleux en sa personne malgré tout le mal qu'elle pouvait lui faire en laissant entendre, voir, comprendre, de telles puis,Je me pencheEt, sur ton front,Ce tendre et chaud baiser, alors qu'une main passe dans tes cheveux"Je t'aime Ludmila"Et tu sais, comme je le penses, du fond du coeur. S'il te plait... S'il te plait. Ne me fais pas te perdre. Je ne veux pas me perdre. Je ne veux pas te perdre. Et si je regarde cette femme, dieu seul sait à quel point ce n'est que pour me rassurer, de loin. Me rassurer de moi, me rassurer de la vie, voir qu'il y a toujours ces entités, stables, ces modèles, que l'on peut toujours suivre pour ne pas jamais n'aurais-je à l'idée de tarir cet amour que j'ai pour amour, et sa puissanceInfernaleEt tellement belle ?Je t'aime, à en de ?La grande femme ouvrit alors les yeux, cessant alors un instant les mouvements qu'elle avait sur les cheveux et les épaules de sa belle, son regard passant en toute hâte vers la scène, alors qu'entraient sept personnes au total La personne sencée introduire la conférence, Grace Sidnëather, ainsi que son équipe. Souffle coupé, comme une certaine appréhension euphorique, elle tenta tout de même de se calmer, de garder une respiration normale, tandis qu'elle ne pouvait cependant s'empêcher de sourire, ses mains quittant le corps de sa belle afin de laisser se mêler quelques applaudissements à ceux des personnes alentoures. Le public au complet, toutes les places de l'immense salle étaient le début de la conférence fut annoncée, et l'immense projection, sur l'écran principal, lancée, sencée suivre les propos des personnes présentes sur scène. Parmis elle, deux animateurs de conférence, afin de poser les questions et orienter le projet, Grace n'ayant cette fois pas toutes les libertés quand à l'exposition de son Vraiment n'y avait pas à dire, cette femme avait de l' allure fascinante. Un visage imparfait, mais avec de ces caractéristiques que l'on oublie pas, des caractéristiques fortes, pronomcées, qui ne faisaient que lui donner plus de charme, loin des têtes de porcelaine que l'on avait tant et si bien l'habitude de voir, regard à l'assemblée, et déjà le docteur Sidnëather laissait-elle entendre les quelques premiers mots, précisant le cadre des elle n'était rentrée de son long projet que depuis peu, mais jamais n'avait-elle cessé depuis d'être confrontée de conférences en conférences. Déjà précisait-elle la mise en place d'un prochain voyage d'études ethniques et biologiques de contrées retranchées, au plus grand bonheur interieur de Dominura, qui ne manquait pas d'en prendre ma main, qui vient dans la tienne, petit ce regard, que je te lance, t'offrant par la même occasion un sourire que je ne reserves qu'à toi J'aimerais être aussi forte qu' trouves pas ses propos terriblement sencés ?Tellement impliquée ; je reporte mon visage sur elle,Me recalant dans mon siègeCe visage que j'observeJamais n'ais-je pu en croiser de tel jusqu' télévision ne retranscrivait finalement que peu ces étonnantes attractionsEt cette châleur en moiN'est-ce qu'euphorie ?Elle m'intrigue, Et me fascine,Mais je me contient tout de même à tes côtésAlors que mon regard brillePeut-être pour elle toute entièreEt non pas ce que tu croisQu'elle représente à mes yeux~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Ven 8 Jan - 233 Que Dominura ai quelques désirs de violence à l’égard de sa conjointe ne semblait pas tout à fait anormal. Ludmila elle-même – alors qu’elle venait de se réfugier dans les bras de la belle française – se rendait compte de son emportement ignoble, bien qu’elle n’aurait pas réellement pu faire autrement, sur le coup, tant son impulsivité et sa jalousie s’étaient imposées face à sa raison et à son amour. En effet, peut-être en ces cas là la jeune femme pensait plus à Dominura comme étant sa propriété plutôt qu’une femme à part entière, à qui elle devait tout de même respect et retenu. Oh, sans doute savait-elle que – justement – Dominura n’était pas un acquis. Sinon, pourquoi s’en ferait-elle tant au sujet de Grace ? Aha. Cela n’était qu’un infâme cercle vicieux. Car la jeune Russe le savait bien A force de laisser gêne, reproches et moqueries s’installer de la sorte entre elles, son aimée finirait par se lasser et lui en vouloir plus m’en veux suis t’aime tellement, mon es tout ce que j’ai. Je pourrai tout quitter à nouveau, comme je l’ai déjà fais en te rejoignant à New York. Je pourrai abandonner mon travail, tous mes biens. Je pourrai ne plus jamais sortir sans toi. Alors pourquoi ne suis-je pas seulement capable de mettre de côté la peur et la jalousie ?Pourquoi est-ce que j’agis de telle sorte que tu en viennes à me détester ?Si tu me quittais, Dominura – Je saurai au moins pourquoi. Au fond, Ludmila se sentait complètement débordée par son amour. Ces derniers temps notamment, elle avait la désagréable impression que la passion qu’elle avait pour la belle française se faisait plus forte que celle de cette dernière à son égard. Allez savoir pourquoi. Et Ludmila avait beau être une excellente psychologue, connaissant parfaitement ce phénomène commun à quasiment tous les couples, elle n’avait aucune idée de la manière dont elle pourrait se rassurer, les mots et la tendresse de sa conjointe ne semblant plus suffire pour sentant les mains de son aimée venir rejoindre ses épaules, Ludmila se serra davantage contre elle, refermant ses doigts sur le tissu de sa robe, passant le bout de son nez dans son cou en un léger tremblement nerveux. Incapable de s’excuser pour l’instant, la jeune Russe espérait tout de même que Dominura comprenne qu’elle était réellement désolée, et accepte de la garder quelques secondes auprès d’elle – au moins le temps qu’elle parvienne à ravaler ses larmes, évitant ainsi une crise de sanglots à quelques secondes du début de la ne suis qu’une enfant, je ne m’en rends pas compte, moi qui suis pourtant si calme et si forte avec quiconque d’autre que toi. Ne l’étais-je pas, au début ? Quand donc ai-je commencé à perdre le contrôle de mes émotions, avec toi ? Il me semble que cela date des premiers jours. Et plus encore suite à notre voyage en France. Puis un peu plus chaque mois, chaque jour. J’étouffe de ces sentiments. Je n’ai jamais appris à les gérer, pensant depuis ma plus tendre enfance que l’amour n’était pas vraiment quelque chose pour pensais ne jamais pensais rester tu es là, et sentir ta main dans mes cheveux me rassure et me calme. Ce baiser, sur mon front, et tes mots, si forts, font s’entrouvrir mes lèvres en un souffle ému et pourtant douloureux. Mon cœur bat bien trop vite, je ne m’en étais pas rendue compte. Et je m’accroche à toi, refermant mes lèvres dans ton cou en un tendre et calme baiser Moi aussi, je t’aime. Je t’aime bien trop. Mais Dominura … Tu ne devrais pas avoir besoin de te rassurer par le biais de quelqu’un d’autre, n’est-ce pas ? Je ne rêve pas. Je sais qu’il se passe quelque si je ne doute pas de ta fidélité, j’ai peur que ma présence ne suffise plus à ton alors l’ambiance sonore de la salle s’emporter, les caresses de Dominura s’arrêtant, Ludmila se redressa doucement, ramenant ses mains à elle avant de lancer un regard à la scène. Les animateurs de la conférence. Grace et son équipe. La jolie blonde les regardaient s’avancer, sentant son cœur se serrer tandis qu’elle ne pouvait qu’être blessée du retour de l’euphorie de son aimée. Oh, ça n’était pas une surprise, et Ludmila s’y était préparée, tandis qu’elle se ressourçait quelques instants dans les bras de cette à présent redressée, Ludmila prenait sur elle pour retrouver force et sérénité, adressant quelques regards à Grace avant de se tourner vers Dominura, la sentant se tourner un instant vers elle. Ne manquant pas de serrer à son tour sa main dans la sienne, la jeune Russe mit un instant avant de seulement parvenir à esquisser un très fin sourire, ne pouvant s’empêcher de penser qu’elle n’avait décidemment rien à faire ici, si ce n’était pour souffrir de voir la femme qu’elle aimait en regarder une autre de ces yeux brillants, enjoués et consciente qu’il lui fallait à présent faire des efforts pour ne pas gâcher la soirée de Dominura, la jolie blonde se redressa plus encore, sentant une vague de chaleur la parcourir tandis qu’elle se donnait le courage de faire abstractions des regards de l’illustratrice envers cette scientifique. Renforçant son sourire avant que sa belle ne se retourne à nouveau en direction de la scène – et de Grace, plus précisément – Ludmila laissa échapper un léger sourire intérieur, reconsidérant une fois de plus la situation afin de faire la part des bien. Je suis là avec toi. Je n’ai rien à craindre d’elle. Et je n’ai pas à imaginer que tu puisses avoir besoin d’elle, d’une quelconque manière que ce soit. Je ferai comme si ton soudain intérêt pour la science n’était pas si étonnant. Je ferai en sorte de me persuader que Grace n’a rien à voir avec ton désir de venir assister à cette conférence, aujourd’hui. Se penchant alors doucement à l’oreille de son aimée, y laissant glisser ses lèvres, la jeune Russe laissa s’échapper un murmure, retrouvant un certaine enthousiasme, mais aussi et surtout une fraicheur amoureuse et sincère qui lui ressemblait bien plus que toutes les provocations dont elle avait pu faire preuve depuis tout à l’heure - Je t’aime, ma chérie. <3Et je t’embrasse, au creux de l’oreille, avant de me reculer, ne te quittant pourtant pas des yeux. Les tiens sont posés sur Grace, et je parviens à garder mon sourire, attendrit, amoureuse. Les doigts de ma main libre rejoignent ton visage, caressant doucement et repoussant délicatement quelques mèches de cheveux, les calant derrière ton oreille. Je ne me lasse pas de te regarder. Et si tu ne me regardes pas, j’apprends à l’ veux que tu profites de cette conférence, puisque tu sembles tellement heureuse d’être seulement quelques signes d’attention de temps à autre ?J’en ai besoin. Et je continuerai à faire ces efforts, si tu n’oublies pas à quel point c’est difficile pour moi. Mais tu ne sais pas, n’est-ce pas ? Tu ne comprends pas, je m’en rends ira je serre davantage ta main dans la mienne, te prouvant ma présence – Réclamant la ne vois que femme m’ ne t’aura esA moi.~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Ven 8 Jan - 312 Oh, se dire que la présence de Grace n'avait absolument rien à voir avec l'envie que Dominura avait à voir cette conférence ainsi que de s'interesser aux recherches comme celles de la scientifique était sans doutes se leurrer, bel et bien. Comme une façon de nier la situation, sans doutes. Car si l'illustratrice avait commencé à se pencher sur ce genre de sujet, développé cette passion soudaine pour la vie, l'aventure, une progression dont elle avait tant besoin, cela n'était pas sans lien avec ce déclencheur qu'avait été la conférence de Sidnëather passée sur la télévision de l'hôtel à Londres. Cependant, que cela aie déclenché l'interêt de Dominura ne voulait en effet pas dire qu'elle était venue à la conférence uniquement pour les jolis attraits de la charismatique rousse Sur cela, Ludmila avait bien raison de se t'en fais donc pas, petit sais bien, que je t' sais bien, que tout va bien. Je suis à tu es à moi, N'est-ce pas ?...Finalement, la conférence avait donc commencé, soulignée par la voix calme, posée, et certaine de Grace, parfois entrecoupée de questions et d'interventions, que ce soit des membres de son équipe ou bien des personnes chargées d'animer le débat. En arrière plan, de magnifiques photos, où l'on pouvait voir directement les études de la faune, de la flore du pays où elle était partie étudier, ainsi que quelques clichés de ses relations avec les membres de la tribu dans laquelle elle avait réussi à se faire accepter malgré sa provenance, sa culture, sa couleur si incroyable aux yeux des autochtones. Evidemment, cela n'était pas sans émerveiller Dominura, elle qui, au fond, n'avait jamais oser penser quitter ses pays purement Européens, a part peut-être pour le continent Américain, et encore, seulement dans les grandes villes où elle pourrait retrouver ses repères, ses tranquillités, son travail prospère. Avoir ainsi une autre vision des choses, si naturelle, si décalée, était pour elle une grande claque, alors qu'elle regardait tout cela comme une force, les yeux grands ouverts et rivés sur le visage de Grace qui s'animait alors qu'elle parlait de la façon avec laquelle elle avait réussi à se faire accepter par le "clan", dépourvue de toute équipe qui était restée dans la région mais bien loin des rassemblements dans lesquels elle était partie côtés de l'Illustratrice, Ludmila sembla s'apaiser quelque peu, comme se détendant, plus apte peut-être à se rendre compte de la situation...Et... L'accepter ?Je ne veux pas te perdre, petit je me rends compte, en cet instant, même si je te regardes pas encore...Que tu fais... Des efforts ? Je te sens, plus sincère. Je te sens, moins troublée. Comme si tu respirais à fond et que je le ressentais, au plus profond de moi. Etranges ressentis, n'est-ce pas ? Je ne saurais comment le définir. Tellement étranges, tellement spéciaux. Et pourtant, je souris. Je souris, mais non pas pour Grace, pas non plus pour cette conférence que j'écoute pourtant avec attention... Mais pour toi, car je sais. Je quel point tu es désolée. A quel point tu voudrais que je t'excuses. A quel point... tu voudrais me montrer ton amour ?Tournant légèrement la tête vers sa conjointe, la grande femme laissa alors clairement voir que ce sourire lui était consacré. Oui, il est pour toi, et tu dois le voir, tu dois le ressentir, alors que ma présence à tes côtés demeure sans failles. Vois-tu, à quel point la stabilité nous rapproche ? Et, alors que tu fais tous ces efforts, je sens en moi comme une attraction, cette fusion, que nous n'avions pas eu depuis longtemps. Oh, je ne dis pas que tu n'as plus de doutes. Mais tu arrives à... Prendre du recul, sur ces choses, qui se passent ?Mon dieu, mon corps, mon coeur, le ressentent. Ils le ressentent et te rendent toute cette énergie de l' suis heureuse. Tout simplement intense, passant de l'oreille de la grande femme jusqu'à ses talons, Dominura laissa son sourire s'élargir sur l'étrange intensément plaisir qui venait de s'emparer d'elle aux mots de la charmante blonde. Je t'aime. Tout simplement ? Mais tellement senti, tellement sincère, alors que ses lèvres se refermaient contre sa peau, la faisant frémir davantage encore !Et si je ne te regardes pas, le temps d'un instant, Je sens bel et bien tes doigts sur ma joue, dans les cheveux, tandis que tu prends attention de vient naturellement mon regard croiser le tien. Et ce sourire, amoureux, alors que mes yeux te remercient Merci, merci,D'être venue avec te rendre compte de ce que tu faisDe me faire me rendre compte de ce qui n'allait pasCes pentes, dans lesquelles nous ne voulons pas nous présence ? Mon attention ? Je te les cette main que je resserre dans la mienne, t'adressant à nouveau un sourire sincère, franc, du fond du coeur. Et je finis tout de même par reposer mon regard sur les orateurs, ces animateurs qui posent à nouveau une question, à laquelle Grace prends le temps de répondre, terriblement posée, comme sondant sans arrêt la profondeur de ses propres propos"Ecoutez. Je trouves que votre question est extrêmement mal tournée... De mon point de vue, la compréhension de l'autre est très importante. La compréhension de toute vie, de toute chose, est un élément essentiel que l'homme ne devrait pas négliger, que ce soit dans sa vie de tous les jours que dans le domaine de la savez, rares sont ceux qui, comme mon équipe et moi-même, osent se vider de toute connaissance afin de s'ouvrir à ce qu'ils aspirent étudier. Sans cette tentative complète de compréhension, aucune harmonie ne peut se faire, et jamais les recherches ethnologiques -par exemple- ne pourraient mener à quoi que ce soit de basé sur de réels faits de sociétés humaines dans leur essence même. Nous ne pouvons pas interprêter l'autre et oser en décrire les visions sans avoir été cet autre nous même, s'être vidé de toutes choses qui nous lie à nos habitudes mentales [...] "J'écoute,Et me régale de ses paroles,Qui me touchent, au fond, de ce que je trouves de nous,Nous comprennons-nous, Ludmila ?La communication a souvent bien du mal à se faire comme Grace le fait, lorsqu'elle aborde ces peuples qu'elle ne connait tout d'abord que de ses études générales et encore superficielles, sans entrer dans l'essence de leur mode de vie, leur pensées, leur culture ? Devrais-je, faire le vide de ma propre personne afin d'appréhender la tienne et te donner ce dont tu as besoin avant de m'emporter comme je le fais si souvent ?Mon dieu, petit tu savais comme je suis comprends, et l'envie de te correspondre brûle à nouveau plus vivement en moi,Alors que ma main se resserre sur la tienne, émue de ces propos tout autant que troublée, emportée,Et je voudrais autant te plaireTe correspondreQue de découvrir désormais la femme qui se cache derrière ces merveilleux proposGrace SidnëatherTu m'ouvres les yeux sur ma vieTu me redonnes le courage en mon amour et l'envie d'en résoudre les problèmesTout autantQue tu me tues d'émotionA travers ces lèvresQue je ne pourrai sentir~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Ven 8 Jan - 2110 Prenant le recul nécessaire vis-à-vis de la situation afin de ne pas simplement faire plus d’histoires, Ludmila avait pourtant bien du mal à se convaincre que l’attitude de Dominura à l’égard de cette inconnue n’était pas au moins légèrement douteuse. Tout comme elle savait qu’elle ne faisait que se leurrer, en imaginant qu’elle n’avait rien à craindre pour le relation, et que leurs divers conflits n’avaient pas tant d’importance qu’ils en donnaient l’air sur le coup. Car si elle savait qu’elle engageait elle-même ces disputes, Ludmila savait tout autant qu’elle ne devenait pas folle en songeant que Dominura n’avait venu vouloir ici que par intérêt pour n’aurais jamais eu l’idée ni l’envie de venir ici, si cette conférence ne mettait pas cette femme en malgré tout un certain calme, observant son aimée avec amour et attention, Ludmila ne pu s’empêcher de sourire tendrement, ses doigts passant dans ses doux cheveux bruns tandis qu’elle la trouvait finalement adorable, à être ainsi fascinée par la conférence. Par la conférence, oui. La jeune Russe s’en persuadait, bien qu’elle sache pertinemment qu’il ne s’agit pas réellement de cela. Ainsi, elle parvenait à s’en convaincre assez pour se détacher d’une situation des plus désagréables – bien qu’en restant inconsciemment méfiante et angoissée - parvenant à se détendre aux sourire et aux regards de sa conjointe à son mes efforts ? Oui, je le te savoir heureuse, tu si, peut-être, ton bonheur va à l’encontre du miens, cette voudrai rentrer. Ne pas avoir à craindre cette femme, l’attention que tu lui portes, si je prends sur moi pour garder confiance, ne pas te faire ressentir à nouveau cette gêne que j’ai en moi … J’ai mal. Je suis si malheureuse, de voir que nous ne nous comprenons plus. Oh, la communication n’a jamais vraiment été très bonne entre nous, n’est-ce pas ? Et le temps n’a rien arrangé, je m’en rends compte à te regarde et te souris, sincèrement plus douce, à je t’aime, mon Trésor. Tu n’as pas à en attitude ne veut pas dire que je ne veux plus de toi, bien au pourrai être odieuse à un point que tu n’imagines peut-être même pas, pour simplement te faire comprendre un quelconque mécontentement de ma part, pour te faire savoir que je suis là, et te demander plus d’ besoin d’aide. Je crois … Que j’ai besoin d’ te souris, mais devient complètement mes doigts se perde sur sa joue, sensibles au contact de ta peau si douce, avant de me revenir, calmement. Je serre ta main dans la mienne, mon pouce caressant tendrement ta peau avant que la voix de Grace ne me fasse me tourner à nouveau vers la scène, presque en même temps que te hais.…Attentive malgré tout, Ludmila dû bien avouer que les propos de cette scientifiques étaient captivants, brûlant de vérité. Pouvait-elle-même avouer qu’ils la mettaient mal à l’aise ? Ces histoires de compréhension de l’autre … Evidemment, ayant étudié la psychologie de fond en comble pendant des années – et même encore maintenant, évoluant chaque jour – Ludmila avait déjà eu affaire à ce genre de sujet, trouvant les mots de cette femme tout à fait juste, malgré sa méfiance à son égard. Après tout, elle ne pouvait pas nier qu’elle avait de réels et intéressantes connaissances, non ? Sentant la main de sa conjointe serrer davantage la sienne, Ludmila sentie son cœur se serrer malgré elle, esquissant un léger sourire entre attendrissement et crainte Que veux-tu me dire, de ce simple geste ? Se tournant doucement vers Dominura à nouveau, la jeune Russe garda ce sourire, se laissant même aller à mettre de côté ses doutes face au visage rayonnant de bonheur de son aimée. Comment pouvait-elle ne pas craquer, même dans ces circonstances ? La charmante française semblait véritablement bien, et Ludmila n’avait pas envie de gâcher consciemment cela, préférant se convaincre une fois de plus qu’elle n’avait rien à craindre et que cela était tout à fait normal. Cette réaction, devait être normale, n’est-ce pas ?N’entendant heureusement rien des songes de sa conjointe, Ludmila se rapprocha d’elle à nouveau, ne pouvant s’empêcher de déposer un tendre et amoureux baiser sur sa joue, venant poser sa main libre sur son ventre avant de se blottir sur son épaule, tournant néanmoins la tête vers la scène. Tu avais raison Cette conférence est intéressante, malgré suis heureuse de t’y avoir accompagnée. Grace est une excellente oratrice, et les photographies de son voyage sont tout simplement sublimes. Peut-être me fais-je simplement des idées, et imaginant que tu puisses t’intéresser à elle plus que de raison ? Je sais, que je dois apprendre à te faire davantage ne suis qu’une enfant, me rapprochant de toi – en demande de tendresse et d’attention de ta Tu avais raison ~ Je suis contente d’être ici avec ton étant calme et posé – bien loin des moqueries de tout à l’heure – Ludmila garda néanmoins les yeux rivés sur Grace, calant plus confortablement sa tête au creux de l’épaule de son aimée, sa main se refermant d’une manière possessive sur le ventre de sa conjointe, comme cherchant un quelconque contact – impossible – avec sa peau. Suis-je en train de mentir ?Non. Je renie simplement la partie de moi qui hurle de rage, te reprochant la fascination que tu portes à cette femme. Ce que tu pourrais éprouver de plus pour elle, avec un peu d’imagination. N’es-tu intéressée que par sa prestance ?Ou regardes-tu ses formes ?N’écoutes-tu que ses mots ?Ou désirs-tu ses lèvres ?… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Ven 8 Jan - 2207 Sommes nous réellement en train de sombrer dans un mauvais tournant, petit chat ? Crois-tu seulement que mon apaisement ne puisse-t-il plus être possible, que nos emportements nous mène sur quelque chose de dangereux ? Vraiment ?De mon côté, si je doutes, je conserve toujours mon amour, ma passion pour toi. Mais qu'est-ce qui, alors nous ferait chavirer ? Sans doutes ce manque de conversation, oui. Ce manques de réactions, alors que tu m'aggresses, alors que tu me provoques, parfois même sans le savoir. Prévois, prévois toutes ces choses qui peuvent passer dans ta vie, entre nous. Prévois, et annonce-les moi, que je note, que je je note,Que je m'y prépareEt que je puisse prendre ce recul. Ce recul, qui me manquais jusqu'alors, que je trouves et approfondis maintenant, afin de ne pas te repprocher tout ce que tu fais, ce recul que j'ai pu développer en trouvant d'autres éléments de secours pour ma psychologie. Il me faut des référencesSavoir que je ne serai pas seule dans ma tête, si tu me laisses entendre des me faut ce soutien mental, en moi-même, pour m'assurer que je suis forte. M'assurer que je n'ai pas à complexer. Que je suis à l'épreuve des balles. Que je suis gardée de toutes confrontations, pouvant avec aise me situer tout aussi importante que les autres, voire parfois plus. Tu sais, si tu es prête à me suivre, nous pourrons aller loin. Très loin, ensemble. Mais mes projets, mon travail sur moi, te paraitraient ridicules et je ne sais pas si tu serais ouverte à en comprendre les élans. Alors, je m'abstiens. Je m'abstiens, et, malgré moiBien malgré moiDes pensées étranges commencent à me qu'une personne comme Grace...Ne serait-elle pas capable de justement y porter attention ? Trouver cela parfaitement compréhensible ?Non. Non !Il ne faut pas que je tente de faire passer la douleur par des espoirs. Il ne faut pas que je commence à croire que d'autres que toi pourraient répondre aux besoins que tu ne voudrais pas comprendre. Il ne faut pas... que je penses de pareilles choses. Il ne faut pas que je me laisse entrainer par cette figure qui me fascine tant, et qui n'est pas sans rappeller cette force que je désire tant atteindre, comme image de perfection es là, es là pour moi,Même si désormais nous ne sommes plus si fusionnelles qu'avantQu'a t-il pu se passer ? Pourquoi ces réactions, ces comportements enfantins, l'une envers l'autre et vice versa ? Notre âge en est-il pour quelque chose ? Ou bien l'évolution de notre relation, d'abord basée sur du professionnel pour en terminer sur de bien plus intimes rapports ? J'ai peur, de trouver la raison. J'ai mal, de ne pas savoir quand tout a commencé à déraper, quand j'ai commencé à réellement souffrir de toi, tout autant que je t' les yeux un instant alors que la conférence continuait sans interruption, laissant filer les minutes à la vitesse de l'éclair, la grande femme finit par les rouvrir, tentant de laisser ses songes de côté, plaquant ses esprits, son attention, à ce qui se passait autour d'elle afin de ne pas laisser son coeur s'emporter de par cette souffrance qui l'avait prit en haut-le-coeur. Nouveau rapprochement,Tendre baiser, là, sur la joue de la grande de la part de cette dernière Je t'aime, Ludmila. Je t'en prie, ne me laisses tentative de laisser tout ce qui me blesse passer par dessus moiPourrait finir en une recherche de paix interieure cette paix interieure ?Une recherche de cette maturité ?Je ne sais pas si mon esprit voudrait tenter de la trouver en toi, tellement me laisses pasNe me laisses surtout pasJe ne veux pas être séparée de toi par ces penséesEt je profite du fait que tu te rapproches pour te faire comprendre à quel point je tiens à toi, même si les mots ne sortent pas Seules mes mains rejoignent tes épaules, tandis que la tienne passe sur mon ventre, s'y rassurant peut-être, alors que je m'ennivre de ta si bonne odeur. Amour, et jeunesse. Possessivité ? Et tendresse. Mais si je sens de toi cette présence physique, j'écoute d'elle tous ses propos qui m'arrivent en plein cette humanitéA m'en faire couler des larmes, quoique je me contiens de ne pas prendre sa conférence sur un point de vue purement émotionnel, alors entourée de toutes ces personnes plutôt penchée sur la recherche et l'exploration humaine. Un ton calme ?Une révélation, qui ne manqua pas de faire tourner la tête de la grande femme vers son aimée Que... Quoi ? Ludmila ?Me dis-tu, à l'instant,Que tu es heureuse d'être ici avec moi ?Depuis combien de tempsNe m'as-tu pas dit spontanémentQue tu étais heureuse d'être avec moi ? Heureuse de mon amour ? Heureuse de me voir, de me rendre visite, de notre temps passé ensemble ?Heureuse... De m'avoir ?Je ne sais pas même si tu me l'as déjà alors qu'au fond de moi je l'attendais à en mourir,Je te souris, cette fois de réelles larmes dans les yeux, incontrôlables. Oh, peut-être ne coulent-elles pas, mais ce que tu me dis me fait réellement plaisir, petit chat. Si plaisir que tu ne pourrais pas même le savoir, t'en rendre compte, à quel sais,Que tu ne mens je sais, tes veux que tu le suis tellement heureuse de cette spontanéité !Tellement heureuse, mon amour !Une caresse, de la joue sur la tête blottie de sa conjointe, et la grande femme laissa sa main resserrer celle de Ludmila, abordant toujours ce sourire ému, brillant, et euphorique à la fois. N'est-ce pas un moment merveilleux ? Je suis si contente. Toi, ces mots, elle, cette conférence ! Que vouloir de plus ? Que vouloir de plus ?Je t'aime, Ludmila.¤[...]¤"...Accordons-nous une petite pause de vingt minutes avant d'enchainer sur la seconde partie de la conférence,Merci à tous"Hein ?!Déjà ?Oh, le temps était passé fort vite, à vrai redressant sur son fauteuil afin de se dégourdir un peu l'assise, la grande femme se délogea avec douceur de l'étreinte de Ludmila, lui offrant un tendre baiser, là, sur ses lèvres cerise, alors, qu'au loin, Grace avait déjà quitté la scène, visiblement assez pressée de profiter de son temps de pause avant de reprendre ses propos. Je t'embrasse, et passe mes mains sur tes épaules, tes bras, avant de détacher mes lèvres des tiennes, te regardant avec attention, les mots dépassèrent sa bouche, tandis qu'elle demandait"On va faire un tour dehors ?"Déjà plus que deux heures que nous sommes là. Que dirais-tu de te promenner quelque peu ? Nous pourrons nous dégourdir les jambes, ainsi, et prendre un peu l' levant alors, elle tendit la main à sa belle et l'entraina vers l'exterieur du rang, passant dans les couloirs du toilettes ne sont pas les couloirs adjacents aux loges non plus ; Mais cela, je l'ignore, tandis que tu le pas nous y mènent presqueQue ressens-tu, au fond de toi, alors que je prends ce chemin, innocemment ? vient de sortir, Sidnëather a quitté la scèneCombien crois-tu qu'il y a de chancesPour que ta compagne et toi même la recroisiezComme tu l'as faitTout à l'heure, alors que Dominura n'était pas même avec toi ?N'as-tu pas peurDe ce regardQue tu poseras peut-être sur elle ?Tout en sachantTon aiméeA tes côtés ?~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Sam 9 Jan - 141 Si Ludmila pouvait entendre les pensées de la femme qu’elle aimait, en cet instant, sans doute serait-elle déjà devenue folle de rage et de peine, trouvant ces songes absolument déplacés et tout à fait ridicules. Pourquoi Grave parviendrait-elle mieux qu’elle-même à rassurer Dominura quand à sa vie, à l’en protéger de cette instabilité qui était sans doute finalement commune à tous les couples aussi passionnés qu’elle ?Tu veux de la stabilité, Dominura ?! Mais la stabilité t’apportera aussi l’ennui, le sais-tu ?Pars donc avec cette femme, si tu crois tant qu’elle sera plus capable que moi de te comprendre, plus apte à faire attention à toi et à t’aimer. Mais tu te trompes. Personne ne t’aimera jamais autant que je t’aime. Personne ne saura te faire frémir autant que je le fais, de mes mots, de mes doigts contre ta peau. Tu es à moi. Je t’ai marqué à jamais, et ne te laisserai pas et le bonheur de Dominura à ses propres paroles ne manquèrent pas d’échapper à Ludmila, qui se redressa alors quelque peu sur le coup, adressant un tendre et doux sourire à sa belle, pinçant très légèrement ses lèvres entre elles lorsqu’elle se rendit malicieusement compte des larmes qui brillaient dans les yeux de la belle française. Etait-elle si heureuse, d’entendre ces mots ? Il était vrai que Ludmila restait bien réservée quand à ses ressentis, et d’autant plus ces derniers temps, mais tout de même ! Non ? Mon Ange. Suis-je si dure que cela, avec toi ? Je ne me rends pas compte. Je n’ai pas pour habitude d’aimer ainsi. Moi qui n’ai jamais aimé personne. Moi qui n’ai pas même eu de véritable famille – Aucun exemple, si ce n’était le mauvais. Mon père ne m’a appris de ses relations qu’il était préférable d’abandonner immédiatement une personne avec qui l’on avait couché. Ne jamais s’attacher. Ne jamais laisser penser qu’il nous serait possible d’envisager un peut-être probable futur avec cette personne. Rien. Aucunes émotions. Aucuns m’as faite ouvrir les yeux sur la réalité du sentiment amoureux, de la passion. Mais je ne sais pas si ce changement ne me fait pas plus de mal que de bien, à présent. Oh, évidemment, je t’aime, et la simple idée d’être séparée de toi me rend malade. Mais ces instants de paix son si rares. Si rares, que déjà il s’évanouit, ta main quittant ma joue en de tendres caresses. Nous sommes attentives à la conférence. Nous sommes attentives à Grace, sans doute pour quelques différentes la regarde, et me demande à nouveau ce que je peux bien faire là, malgré je ne perds pas de recul. Au contraire. Je suis là, contre toi, assistant à une conférence qui ne m’intéresse pas plus que cela. Je suis là, contre une femme que je sais être prise de doutes à mon égard. Je les sens. Je le sais. Le recul ne servira à rien, n’est-ce pas ? Les causes de ces malaises sont plus profondes, et malgré notre amour, malgré nos efforts, nous savons bien toutes deux que rien n’est réglé.¤[...]¤Se redressant doucement à l’annonce de l’entracte par Grace, Ludmila s’accrocha néanmoins doucement à Dominura, laissant ses mains glisser sur sa taille tandis que les siennes passaient justement le long de ses épaules et de ses bras. Fermant les yeux à ce baiser absolument exquis et bienvenu, la jolie blonde laissa finalement se dessiner un adorable sourire sur ses lèvres rouge, s’enivrant de l’odeur de son aimée, de goût délicieux de ses lèvres, avant de se redresser totalement, s’accrochant à son regard avec hochement de tête en guise de réponse positive, accompagné d’un calme sourire Oui, allons dehors. Prendre l’air nous fera sans doute du bien, après ces deux heures de conférence. 19h ? La conférence finirait sans doute aux alentours de 21h, n’est-ce pas ? Que ferons-nous ensuite, mon Amour ? Je ne travail pas, demain. J’aimerai profiter un peu de toi, en profiter, avant d’entamer une nouvelle difficile et longue semaine, où je n’aurais sans doute pas la possibilité de te joindre, ni évidemment de te rendre te suis, Trésor. Et ma main se sert dans la tienne, tandis que mon regard se pose sur ces journalistes qu’il me semble avoir déjà aperçut lors de tes propres conférences. N’as-tu pas peur qu’ils ne nous voient ? Ils ne sont pas là pour toi, certes, mais … On ne sait jamais. Après tout, tu n’as encore parlé de notre relation à personne d’autre qu’à Bernard, n’est-ce pas ? J’en souffre, tu sais. Tu n’es pas la seule à douter de l’importance que tu peux avoir au regard de la femme que tu aimes. Tu n’es pas la seule à vouloir certaines m’avais promis, étais sensé leur parler de le voile sur notre relation, afin que nous puissions la vivre en paix, sans nous soucier de ces gens qui te traquent de temps à autre. Je voudrai qu’ils sachent. Et qu’ils te laissent tranquilles. ClacClacClacRevenant à ce couloir qu’elle avait déjà traversé quelques heures auparavant, Ludmila jeta un coup d’œil à l’endroit où elle avait pu croiser le regard de Grace, instantanément rassurée de voir qu’elle ne s’y trouvait pas à nouveau. Néanmoins consciente que cette femme pourrait bel et bien se trouver non loin de là – les loges étant installées le long de ce couloir – Ludmila pressa un peu le pas, serrant la main de Dominura dans la sienne d’un geste relativement nerveux. Il était temps qu’elle sorte. Temps qu’elle prenne une cigarette, et se détendre enfin suite à deux heures de retenue et d’angoisse, malgré une relative amélioration de l’ambiance entre Dominura et elle. Son regard se posant sur la belle française tandis que toutes deux marchaient donc en direction de la sortie, Ludmila ne pu s’empêcher de sourire, sentant une vague d’euphorie nerveuse la traverser, réalisant une fois de plus à quel point sa conjointe était sublime, désirable et incroyablement unique. Tous ces gens semblaient fades, à côté d’elle. Tous ces gens ne valaient rien. Et la jeune Russe se rapprocha alors de son aimée, laissant sa hanche cogner très doucement la sienne avant que sa main ne lâche celle de l’artiste, passant malicieusement dans le bas de son dos, puis – doucement – plus bas qu’elle n’en avait raisonnablement le droit, y refermant très légèrement ses doigts en un mouvement plus tendre que pervers, possessif et es à moi, garce !Je ne veux plus que tu penses à qui que ce soit d’autre qu’à je veux que tout le monde sache, qu’ils n’ont aucunes devront s’opposer à moi, ne serait-ce qu’avant de t’ devront me tuer – ou se faire tuer – pour avoir une chance de t’ es à ne te laisserai ne te laisserai pas !<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Sam 9 Jan - 330 La grande femme n'entendait pas plus les elucubrations de sa conjointe que cette dernière pouvait entendre et comprendre le système de pensées complexes de l'Illustratrice qui était également son aimée. Allaient-elles réellement vers des situations, des chemins, si différents ? Ne pouvaient-elles pas tout rétablir ? Si, bien entendu. Mais cela, elles devaient le faire à deux. Le faire ensemble. Régler leurs différents et leurs problèmes... De communication ?Tout avait un lien avec cette fameuse communication, au final. D'abord, bon nombre de leurs soucis, leurs disputes passées, avaient été fondées sur des malentendus ou bien une certaine incapacité à comprendre ce que l'autre voulait dire ou bien ressentait. Mauvaises pentes sur les décryptages, mauvaises pentes sur les réponses, et ce couple si parfait s'éffritait un peu plus à chaque fois, se retranchant dans la gêne, les complexes ou bien l'humeur tout cela, je n'en veux pas, petit sais bien, à quel point je rêve être proche de toi, chaque jour un peu sais bien, à quel point mon amour est mourrai, d'être séparée de pensée même de cette hypothèse m'en donne des frissons, des frémissements attroces et pour la grande femme, les sourires de Ludmila étaient toujours présents, même si cette dernière n'aimait pas réellement le statut qu'elle occupait cette soirée là. Avait-elle l'impression de passer pour une simple accompagnatrice prise au hasard ? Croyait-elle que Dominura pouvait se passer d'elle ? Dans tous les cas, les quelques expressions positives qui baignaient parfois son visage d'ange ne manquaient pas de faire plaisir à la grande française, qui tentait d'y voir de quoi se rassurer quelquesfois, comme pour s'enlever en elle la culpabilité d'avoir demandé à sa conjointe de venir alors que celle-ci n'y paraissait pas même de t'avoir imposé si tu t' tout de même, de me sourire. Cela me complait peut-être dans l'amour que je vois en toi, Mais j'espere encore que tout cela n'est pas qu'hypocrisie. Oh, si cela l'était, je le saurais, n'est-ce pas ? Je n'en décèle pas exactement les symptômes, même si je te sens toujours reflexive, point tout à fait toi qui cloche, Ludmila ?Dis qui cloche, en moi ? Entre nous ?Avant, je n'étais pas comme nous levons, et tu me suis, alors que ma main dans la tienne ne craint absolument pas les journalistes, dans un tel contexte. Pourtant, n'est-ce pas exactement la même chose que dans la rue ? Voire pire, avec ces journalistes dans l'assemblée ? Peu m'importe, en réalité. Puisque je suis avec toi. Au fond, de quoi rêves-tu, petit chat ? Voudrais-tu que je tienne parole, et que j'avoue aux médias que nous sommes officiellement ensemble ? Oh, cela ne me poserait pas de problèmes. Tu le sais, cela ? Non, je ne crois pas même que tu t'en doutes, n'ayant plus réellement abordé le sujet de façon ouverte avec toi. Mais là, si tu me le demandais, je te le dirais J'en suis prête. J'en suis fin prête, prête à assumer mes choix. Prête à vivre, encore. Prête à vivre, plus, et encore plus seulement le moment. Le bon conférence n'est pas le lieu ni l'instant idéal. Attendons encore, le veux-tu ? J'aimerais savoir que cela est pour toi un savoir... Que tu serais heureuse de mes initiatives à t'annoncer comme ma compagne ?J'ai toujours peur de tes réactions, au fond de est-ce étrange~ Tu ne me jugerais pourtant je t'entraine avec moi, tandis que nous allons bientôt rejoindre l'exterieur. Cigarette ? Peut-être une, pour t'accompagner, pour calmer l'euphorie. Baisers calmes ? J'en aurais besoin. Un entrechoquement de hanches, un rire cristallin et enjoué de la part de la grande femme, déjà partie de ses yeux de petite provocation amusée Tiens, garce, que je t'y réponde, avant de sentir ta main passer contre le bas de mon dos, plus bas encore. "Oh !"Petite effrontée !Passant un regard faussement outré sur sa conjointe, la grande femme finit par en rire à nouveau, alors qu'elle laissait elle-même une de ses mains passer dans le dos de la charmante russe, l'entrainant toujours avec elle à marcher jusqu'à la sortie, en ces échanges aussi malicieux que complices, quelques secondes purement fusionnelles, adorables. Mais les moments de rapprochement sont souvent bien courts, N'est-ce pas, petit chat ?Car déjà des voix derrière vous se font voix que tu as déjà entendu... A de tellement nombreuses reprises, en l'espace d'une soirée seulement"Est-ce que vous avez pensé à ma bouteille d'eau ? Haaaahhh, Steeve, qu'avez-vous dans la tête ?! Je vous avait pourtant demandé de me la ramener de la loge, pour ne pas avoir à m'y déplacer pendant la pause ! Vous savez que je dois revoir mes diapos avant la seconde partie ?"Evidemment, cette voix était celle de Grace, et semblait se rapprocher dans le couloir, sans doutes passant vers la même direction que Ludmila et l'Illustratrice. Par ailleurs, elle enchainait, dans une demande qui était tout de même bien loin des exigeances froides et hautaines de Meredith Defraway, pour l'exemple, et bien plus naturelle, plus posée, quoiqu'aussi exaspérée"Et ma cigarette ? Où avez vous mis ma cigarette ? Ah, merci."Puis, instantanément plus douce, plus amusée, d'un sourire dans la voix Variations que Meredith et Dominura avaient bien du mal à comprendre et appliquer, apparemment "Eh bien, vous voyez, quand vous voulez !"Tap,Tap,Tap,Tap, Et le parfum calme mais intense de la scientifique parvint aux narines de la belle blonde, la maitresse de conférence lui passant tout juste à côté, suivie de près par deux personnes de son laboratoire, ses cheveux roux voletant dans le même vent qu'elle venait de faire ressentir, courant d'air, à Ludmila. Quelques pas, et Grace avait dépassé les deux jeunes femmes sans y prêter attention. Quelques pas, oui, mais tout se passait si vite que ni Dominura, ni Ludmila, n'eurent le temps de faire quoi que ce soit, à part aperçevoir le visage mûr de la scientifique, cette dernière se tordant quelque peu pour jeter un oeil en arrière, à l'un de ses deux assistants, lui laissant entendre de sa voix calme mais intense, emportée par son travail "Je ne vous ai pas entendu parler, James. Est-ce que vous avez les résultats des analyses des deux derniers échantillons qui n'étaient pas encore passés ? Cette conférence nous met dans un de ces retards... Si vous pouviez vous débrouiller pour retourner au labo avant nous, cela m'arrangerait."Instant d'arrêt, alors que, dans son champ de vision, deux têtes féminines se détachaient. D'abord, cette femme, en vert, dont le regard profond l'avait happée, le temps d'une fraction de secondes. Ensuite, la blonde, qu'elle avait croisé quelques heures auparavant, alors qu'elle marchait tout simplement dans ce même couloir. Une seconde de silence, puis elle renchaina, retournant la tête devant elle, brandissant sa cigarette éteinte tout en laissant virevolter sa blouse dans son sillon, parlant toujours au fameux James, qui avait l'air de s'y connaitre en ce qui était des conversations avec la grande femme, celle-ci n'arrêtant jamais de s'impliquer dans son travail."Je n'aime pas être aussi loin des recherches en cours lorsque ce n'est pas pour des experiences humaines... Et vous savez, les experiences humaines avec ces éspèces d'hypocrites qui hochent la tête sans arrêt pour finalement vous foutte le couteau dans le dos en faisant tout pour arrêter le financement des études... !"Visiblement hors d'elle, contre ce public d'invités bien loin de ce qu'elle avait sans doutes imaginé,Elle marchait toujours vers l'avant, bien vite rejointe par ses deux assistants qui courraient sur ses talons, des dossiers en main, l'un des deux s'exprimant tout autant qu'elle sur les même propos. Finalement, la fin de ses phrases s'éteignait plus loin, alors qu'elle entrainait ses compagnons dans le long son côté, Dominura s'était presque arrêtée sur place, littéralement paralysée d'avoir croisé de si près la femme qu'elle avait tant suivi par le biais d'écrans, de papiers, de textes, d'ouvrages, en un mois seulement Etait-ce bien Grace Sidnëather qui venait de passer juste à côté d'elle ? Juste à côté de Ludmila, laissant derrière elle ce si délicieux parfum, cette si effrayante aura de sûreté ? Les yeux plus grandement ouverts qu'auparavant, Dominura hésita un instant à tourner la tête vers Ludmila, puis, finalement, le fit tout de même, comme choquée, tout simplement choquée."KhH !"L... Ludmila !!C'était Grace !Tu t'en rends compte ?Elle... Vient de passer ! Juste là !Et ce coeur, qui semble vouloir exploser, me traverser la poitrine,Alors qu'une bouffée de châleur, d'euphorie, me prends encore !Mon dieuMon dieuMon dieuEt ma main resserre la tienne, alors que je m'étais défaite, d'un surtaut, de ton m'a regardéEt son regardM'a retournéeToute entièreMise à nuDe ces yeux sombresCes yeux observateursUne fraction de secondesAssez pour me faire tomberAlors qu'elleS'éloigneDe son pas rapide, déterminé, dans le couloirPrête à aller fumerSa cigaretteLoin des regards de tous ces hypocrites.¤ Mes yeux brillantsQui ont sondé les votresN'étaient pasHypocrites,Grace. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Sam 9 Jan - 443 Notre couple si parfait. Que sa passe t-il ? Je ne me souviens pas. Je ne parviens pas à me souvenir de la première fois, où tout a commencer à voler entre nous. Etait-ce lorsque j’ai voulu porter ta si jolie robe fuchsia ? Déjà, tu ne me trouvais pas assez mature, passant au travers de tes principes, n’est-ce pas ? Est-ce lorsque tu as appris que je n’avais pas été fidèle aux premiers jours de notre relation ? J’avais peur, Dominura. Et je n’étais pas sensée tomber enceinte de cette aventure. Tu n’étais pas sensée voir ça. Ou est-ce ce jour où j’ai dû emmener cette petite sœur qui m’était jusqu’alors inconnue, chez toi ? Je crois, que ce jour, a tout n’ai pas compris ta réaction – si violente – et ne la comprendrais sans doute jamais. J’aurai dû te prévenir, ou simplement d’avertir de mon absence, comme si tu n’étais qu’une simple patronne à mes yeux. J’aurai dû te tenir à l’écart de cette histoire, qui me rendait si nerveuse. J’avais osé espérer que tu tenais assez à moi pour tenter de comprendre, et m’aider à surmonter la crainte de cette responsabilité qui a été la mienne pendant quelques jours. J’avais besoin de toi, et tu m’as crié dessus, comme si je n’étais pas capable de me rendre compte moi-même de mon incapacité à m’occuper d’une fillette de trois ans. Je n’avais pas compris, alors, cet égoïsme qui avait été le tiens ~ Et maintenant ? Etait-ce en rapport avec ton fils, Dominura ?Etait-ce en rapport avec le souvenir de ce petit Edouard ?Héléna n’y était pour moi non souffert de cette dispute. Enormément souffert. Et j’ai souffert de notre réconciliation, tandis que je ne parvenais pas à te pardonner totalement cette réaction, culpabilisant moi-même de mes tors. Et puis, tout s’est passé si vite. Une distance nouvelle nous a séparé quelques semaines, et seulement lorsque nous sommes parvenus à retrouver une certaine confiance l’une en l’autre, Richard te força à quitter Londres dans le mois à venir. Un mois qui fût sous le signe d’une proche séparation, n’est-ce pas ?Je devais rester à Londres. Je ne devais pas te devions simplement nous forcer à passer à autre chose, quitte à souffrir un je n’aurai pas pu tenir, sans l’espoir de te retrouver un jour. J’ai tellement eu mal de savoir que peut-être je ne te reverrais jamais, que je sais à présent qu’il me serait impossible de vivre sans toi. Même si je ne suis pas mature. Même si je suis parfois terriblement dure avec toi. Même si je ne te dis sans doute pas assez ce que je peux ressentir de positif, et te montre bien trop ce que j’ai à te reprocher, de part un comportement enfantin et capricieux que tu ne comprends pas. Et la jalousie. Les crises de jalousie, à en devenir ne nous comprenons pas, ne nous comprenons plus, depuis déjà très si parfois l’amour et la malice nous rapprochent, nous donnant l’impression d’être fusionnelles, invulnérable ~Ca n’est qu’un leurre. Rien n’est réglé. Attendons le bon moment, n’est-ce pas ?Ca n’est pas le bon moment, pour régler ce genre de problèmes. Et crois-moi, je suis heureuse de t’avoir accompagné à cette conférence, malgré mes réticences, malgré cette euphorie et cette brillance dans tes yeux lorsqu’ils se posent sur Grace et m’insupportent. Ai-je vraiment le droit de te le reprocher ? Tu n’es peut-être qu’une enfant, au fond. Une enfant qui prendrait cette femme pour modèle, pour idole ? Je ne sais plus quoi penser. Sentant la main de Dominura rejoindre à son tour le bas de son dos, Ludmila laissa échapper un léger rire amusé, mordillant sa lèvre inférieure d’un air faussement coupable afin de répondre au regard de son aimée. Un instant, la jeune Russe parvint même à repousser Grace de ses pensées, profitant avec amour et sincérité de ces quelques instants de complicité avec sa conjointe, tout simplement heureuse de se trouver là avec elle, oubliant presque tout gêne vis-à-vis d’elle et de ce qu’elles avaient pu se dire de plus insupportable depuis le début de la … Cette voix ?Se retournant très légèrement sur le côté, au moment même où Grace et son équipe les dépassèrent, Ludmila fut prise d’un haut-le-cœur en sentant le parfum de cette femme passer ainsi sur elle alors qu’elle ne s’y attendait absolument pas. Pâlissant sur le coup – d’autant plus qu’elle sentait Dominura se détacher d’elle à ce moment même – la jeune Russe suivit la talentueuse scientifique du regard, n’écoutant qu’à moitié ses paroles. Cigarette ? Cela voulait-il dire qu’elle était sur le point d’aller dehors, elle aussi ?Un haut-le-cœur, donc ? Précisons tout de même que cela n’était pas par un quelconque dégoût de l’odeur de cette femme, bien au contraire. Cette bouffée d’air avait été absolument délicieuse, et Ludmila ne le niait absolument pas. Néanmoins, sur le coup, la jeune Russe se sentie littéralement sombrer, songeant immédiatement au fait que sa conjointe ai pu elle-même sentir cette odeur, et en être attirée. Ainsi, après quelques secondes à restée totalement figée sur Grace, la regardant s’éloigner dans le couloir tout en continuant à parler à ses assistants, Ludmila lança un furtif coup d’œil à sa belle, sentant son cœur se serrer en voyant le visage de son aimée s’éclairer ainsi de fascination et de bonne surprise. Se tournant à nouveau du côté de Grace, croisant une fois de plus son regard, la jolie blonde fronça légèrement les sourcils, comme la défiant d’un regard sombre et distant Pour qui te prends-tu ? Ne la regarde pas !Je vais la vais la vais la tuer !Serrant plus fermement la main de Dominura dans la sienne, Ludmila ferma un instant des yeux à l’exclamation étouffée de cette dernière, tentant tant bien que mal de garder le recul qu’elle avait réussit à prendre durant ces deux heures de conférence. Remarquez, la belle française ne lui facilitait pas la tâche, à réagir ainsi, comme si elle venait de croiser la Reine d’Angleterre en personne. Elle n’est n’est les compétences de Grace dans le domaine scientifique comptaient, évidemment. Mais pouvait-on réellement aduler ainsi quelqu’un pour son simple travail ? Il semblait y avoir bien plus que ça. Et tandis que Ludmila se tournait à nouveau vers sa conjointe, remarquant bien rapidement la brillance de ses yeux et ce sourire euphorique qu’elle trouvait absolument idiot – de part les circonstances – elle laissa alors entendre, retrouvant ce ton sarcastique qu’elle avait eu suite à sa première furtive rencontre avec Grace - Contente ?Levant les yeux au ciel suite à cette simple question – moqueuse bien que cachant une fois de plus une certaine rancœur, une blessure qu’elle ne pouvait repousser – Ludmila se détourna ensuite de Dominura, retenant toujours sa main dans la sienne tandis que Grace disparaissait au tournant du couloir, probablement en direction de la sortie où elles avaient elle-même l’intention de se rendre, ayant repris une marche relativement lente, Ludmila ne tenant pas en n’ai aucune envie d’y aller, si c’est pour l’avoir à nouveau dans mon champ de n’ai aucune envie de supporter ce regard que tu lui portes, à tout bout de exagères, cette femme te fait rêver, pourrais au moins avoir la décence de m’en épargner les d’être odieuse si tu le veux ; Tu ne mérites que ça. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Sam 9 Jan - 544 Je ne veux pas te blesser, Ludmila. Je ne veux pas te faire du mal, pas plus que je ne désirerais te faire comprendre ces horribles choses qui te passent dans l'esprit. Ne crois pas que tes songes soient vrais. Ne crois pas tes doutes, ou encore nous meneront-ils vers la mauvaise pente, comme souvent lors de nos répétitifs malentendus. Je n'ai jamais pensé te tromper. Je n'ai jamais pensé vouloir aller voir quelqu'un d'autre que toi, mon amour, même dans les pires moments de notre relation. Puis-je en dire de même pour toi ? Je n'en sais seulement quelqu'un qui n'as rien à se repprocher, pour ainsi me laisser comprendre que si tout bascule, ce n'est que de ma faute ?Je ne puis faire des efforts si tu ne me dis pas de quoi l'on parles, quel est le problème à régler. Et tu crois que c'est en m'agressant encore, comme tu le fais si souvent, que je vais être plus apte à ouvrir les yeux sur toi ?J'ai peut-être finalement compris, ce qui t' pas vices de jalousie ?Es-tu réellement jalouse de cette femme ?Sans doutes en un temps t'aurais-je avoué, assuré, que personne ne pourrait te dépasser à mes yeux. Et maintenant ? Je serais prête à le dire, tel que je le penses, mais tes réactions, ton comportement me poussent à dire l'inverse... Et bientôt le penser ? Non. Je ne veux pas pouvoir penser que tu as des raisons de jalouser les autres. Tu as pourtant tout ce dont les jeunes femmes rêvent Un magnifique physique, un superbe boulot, de jolis vêtements, une grande classe, de l'intelligence, du talent... Mais qu'en fais-tu, finalement ? Tu caches tout cela sous des masques où je ne te reconnais ne te reconnais plus, et en ai est cette femme qui, au lieu de partager mon heureux choc, ferme les yeux et me laisse à nouveau entendre ce ton sarcastique, écoeurant ?Je croyais que tu voulais t'excuser !!Je te croyais REELLEMENT, tout à l'heure, lorsque tu m'as fait comprendre que tu étais désolée de tes me suis-je également trompée là dessus ?J'ai vu, ces yeux que tu as roulé vers le ciel. Cette main que tu serres dans la tienne, à presque m'en faire mal, alors que tu te détournes de moi, après avoir à nouveau frôlé ces tons odieux et ? CONTENTE, Ludmila ?! Je resserre à mon tour ma main, tout comme mes dents. Avec quoi puis-je hésiter ? J'aimerais te donner une claque, une baffe, que tu comprennes un peu la honte que j'ai à te voir réagir ainsi. Ne pourrais-tu pas être claire, franche ? Simplement me demander d'éviter de réagir comme je le fais ? Désolée, d'avoir été agréablement surprise pour quelqu'un d'autre que surprises que tu ne me fais plus,De par ton quel droit oses-tu me blâmer de mes rares plaisirs, à présent que tu t'en es partie pour ton boulot et ta nouvelle patronne ?Désolée, Ludmila, désolée,Mais moi, je dirai les mots. Moi, je serai franche."Parfaitement, oui."Et elle lui lâcha la main, la contournant simplement pour se retrouver en face d'elle, ses yeux vert sombre glissant sur son visage, alors qu'il n'y avait aucun air ni moqueur, ni hautain, ni satisfait sur son visage Je ne rentre pas dans ton jeu."Contente, je le suis, puisque tu abordes le sujet, je te dirai même que je suis extrêmement heureuse d'être ici, et, de surcroît, d'avoir croisé la personne qui vient de Ludmila, tu es absolument adorable, mais tu me fatigues. Et maintenant quoi ? Tu vas aller cracher sur tous ceux qui me demandent des dédicaces, tous ceux qui me filment, interviewent, qui m'approchent ?!C'est n'importe quoi. Tu fais vraiment... N'importe quoi. Je comprends MEME PAS ce qui peut te passer par la c'est une scientifique qui se donne dans son travail ! C'est quelqu'un qui fait des choses pour elle mais également pour les autres, ce que j'admire ! Et puis quoi. C'est tout ! Quoi ? Qu'est-ce que tu veux que je te dise, au juste !!"Levant les bras au ciel, elle ajouta, de sa gestuelle"Y'a rien à comprendre, RIEN ! Tu crois quoi, que je vais lui sauter dessus parce qu'elle aborde des sujets qui me plaisent ?!Non mais vraiment..."Semblant s'énerver toute seule, elle finit par brandir ses poings dans le vide, ses bras retombant le long de ses flancs, avant de dire, comme complètement perdue dans son emportement"Oh et puis merde hein, j'en ai marre !Je comprends même pas que tu puisses avoir peur de quoi que ce soit jusqu'à en être aussi déplacée. Non mais regarde toi bon sang, tu veux quoi de plus ?!"Tournant les talons, rouge de colère et d'emportement, elle se dirigea alors de pleine vitesse jusqu'à l'exterieur, ses derniers mots se perdant dans son sillon de parfum Galliano"Fais Chier~ !"Petite crise de nerfs, sans doutes lié au stress, au manque de contact et de communication avec sa conjointe, qui ne laissait que paraitre alors ses élans de comportements absolument inssuportables. Oh, et puis mince hein ! Ludmila n'avait rien à envier à Grace, dans l'esprit de Dominura ! Elle commençait à se faire ses films toute seule, à en débousoller son aimée, qui ne savait plus trop bien où elle en elle me fascine,Certes, je l' et alors ?C'est de mon droit, tu ne me dis rien de clair, tu ne m'as pas défendu de quoi que ce soit, tu ne dis rien et ne fais que me pousser à t'en vouloir !Et moi, je n'y suis ne trouves plus les mots, je n'en trouves plus le sens,Je suis perdueEt elle, au loinN'a fait que que j'aurais aimé partager avec toi, puisque tu ne le veux pasAlors j'iraiEt puisque tu ne veux pas que l'on en parle pour applatir mes élansAlors je ferai en sorte que mes questions soient dotées de réponsesPuisque tu ne veux pas partager cela avec moiJe feraiToute seuleMais alorsIl n'y aura plus de limitesEt je pourrai voirCe pour quoi je voulais te poser des questionsTe faire partager ma passionPour éviter d'en être engloutiePortée par le coeur intriguéPlutôt que celui aimant~Ce dernierT'es l'était ?...Tu me tues. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Sam 9 Jan - 1107 Réagissant une fois de plus plus impulsivement qu’elle ne l’aurait voulu, Ludmila se rendit rapidement compte de son erreur, la main de sa conjointe serrant à son tour quelque peu plus la sienne suite à ses paroles. Mais comment donc aurait-elle pu réagir autrement ? L’euphorie de Dominura au passage de Grace la rendait malade de jalousie et d’incompréhension, ne sachant pas véritablement ce que tout cela signifiait aux yeux de sa compagne. Comment pouvait-elle donc trouver tant de plaisir à seulement croiser cette femme ?! Cela ne lui arrivait jamais. Cela n’était pas le genre de choses, qui arrivaient à la belle française. Parfaitement, oui. »Que ~ Quoi ?! Ses sourcils se fronçant d’une colère nouvelle à ces mots, Ludmila sentit intérieurement sa peine se faire plus présente encore, perdant de ce recul raisonnable qu’elle avait pu atteindre jusqu’à il y a seulement quelques secondes, avant que l’apparition de Grace ne vienne tout gâcher. Pinçant légèrement ses lèvres avant que Dominura ne vienne la contourner et passer devant elle, l’empêchant d’avancer davantage et visiblement prête à lui faire entendre d’autres mots, décidée. Ca n’est pas la peine, ne suis pas prête à entendre quoi que ce soit, aujourd’ ne comprends pas, que cela ne nous aidera ne feras que me déchirer me fais es très heureuse de l’avoir croisé ?! Très bien ! Tant mieux pour me dégoûtes. Mes lèvres s’entrouvrent, prête à te rétorquer quelques paroles tout aussi impulsive que les précédentes, mais déjà tu renchéris, encore ; Et encore. Je suis adorable, mais te fatigue. Et bien, sans doute pourrais-je te dire la même chose, n’est-ce pas ? Tu me fatigue, à ne pas vouloir comprendre que tes regards et tes réactions spontanées ne peuvent que me fragiliser. Que penserais-tu, à ma place ? Que ferais-tu ?!Ludmila laissant alors les flots de paroles de sa conjointe se déverser sur elle, tentant de les prendre avec le plus de recul possible afin de ne pas s’emporter à nouveau et de laisser s’assouvir quelques pulsions violentes à son égard. Oh, si elle l’avait pu, sans doute la jeune Russe se ferait-elle un plaisir de repousser – d’une quelconque manière que ce soit – les fans et les journalistes qui tournaient autours de son aimée, sans se rendre compte que cela n’était pas de plus agréable pour elle et son fais n’importe quoi ?! Comment peux-tu dire ça, si – comme tu l’avoue par la suite – tu ne comprends pas même ce qui me passe par la tête ?! Non, tu ne comprends pas. Tu ne veux pas comprendre, Dominura – Bien trop bornée à croire que la façon dont tu agis vis-à-vis de Grace n’a rien d’anormal. Mais ça n’est pas normal. Et je refuse de te voir ainsi prendre ainsi plaisir ne serait-ce qu’à poser tes yeux sur cette personne, qui n’est pas moi. Tu l’admires, et c’est tout ? Je n’y crois pas. Je ne peux pas y la regardes, comme tu me regardais. Comme tu me regardes encore, parfois, lorsque le calme revient entre nous. Tu la regardes de tes yeux brillant d’intérêt et de fascination, comme si il n’y avait pas femme plus humaine et plus héroïque au monde. Certes, peut-être a-t-elle du mérite. Mais tu ne vaux rien dans sa vie. Elle ne te connait même pas, Dominura ! … Je ne sais plus où j’en TacTicTacDétournant les yeux, ces derniers se perdant quelque peu dans le vide, sur le côté, Ludmila ne pouvait réellement réagir aux mots de son aimée, paralysée par le doute et l’incompréhension. Devait-elle la croire, lorsque sa belle prétendait qu’il n’y avait rien à comprendre ? Elle ne lui sauterait pas dessus ? Encore heureux. Le seul fait d’entendre ces mots leva le cœur de la jolie blonde, qui se raccrocha vivement au regard de sa conjointe, à nouveau, sur le coup de ses mots qui na troublaient d’autant plus que les peux-tu dire ça ? Pourquoi t’énerves-tu ainsi ?! Ta réaction ne me fait que me conforter dans l’idée que Grace a de l’importance pour toi, tandis que tu aurais pu réagir plus légèrement, à m’en faire oublier mes craintes. Tu en as marre ? Alors dégage ! Va-t-en ! Je ne veux plus te voir pour l’instant. Je ne veux plus te voir, Dominura ! Si tu ne me comprends pas, je ne te comprends pas plus. Oh, je sais comme je m’emporte bien vite – Mais ça n’est pas une raison pour m’en balancer ainsi plein la figure, à croire que j’ai tous les j’ai peur. Mais comme tu le dis si bien, tu ne comprends pas – Ou ne veux pas comprendre. Non mais regarde toi bon sang, tu veux quoi de plus ?! »Serrant les dents afin de se retenir de sauter sur Dominura pour l’étrangler à ces mots, Ludmila fronça vivement les sourcils, sentant colère et souffrance s’entremêler à nouveau en elle, reprenant leur place, en son esprit comme en son corps. La fusillant du regard, complètement hors d’elle à force d’entendre ces reproches et ces incompréhensions, la jeune Russe laissa finalement sa belle tourner les talons, littéralement figée sur place, entre l’envie de partir immédiatement et celle de se jeter sur la charmante française à l’en violenter pour tout ce qu’elle venait encore de lui t’en veux, de ne pas vouloir simplement me rassurer, plutôt que de me faire sombrer n’aurai eu besoin que de tes bras, de tes sourires – A Moi. Je n’aurai pas eu besoin de plus, pour m’excuser d’un comportement exagérément déplacé. Tu me connais pourtant assez bien pour savoir que je ne le pensais pas, n’est-ce pas ? Peut-être pas, au final. Je ne nous reconnais pas, Dominura. Est-ce toi, ou moi qui ai changé ? Je n’ai pas changé. Mes nouveaux vêtements ne veulent rien dire. Pas plus que cette attitude agressive que je te porte Je ne me permets pas ce genre de choses parce que je te considère comme acquise, mais bien parce que je souffre de cette situation et ne parvient pas à contrôler mes élans. Ah oui, jolie fleur ?Es-tu certaine de cela ?…ClacClacClacAttendant de ne plus avoir Dominura dans son champ de vision pour réaliser qu’elle était en plein milieu du couloir – immobile – Ludmila suivit finalement le même chemin que son aimée, sentant les larmes lui monter aux yeux au fur et à mesure que les secondes passaient, la laissant seule avec cette conversation à sens unique qu’elle avait bien du mal à encaissée, puisque précédée de tant d’autres reproches depuis déjà quelques semaines. ClacClacSortant à son tour à l’extérieur, ne lançant qu’un furtif regard à sa conjointe au passage, Ludmila ne tarda pas à aller s’asseoir sur un banc de pire calé contre l’un des murs du bâtiment, sortant rapidement une cigarette qu’elle porta à sa bouche. Prenant une première bouffée après l’avoir allumée, la jeune Russe sentit les larmes perler malgré elle le long de ses joues, glaçant sa peau au contact du vent glacial de l’hiver. Me reprocheras-tu aussi de pleurer comme une enfant ?Me reprocheras-tu de vouloir être seule, de laisser sortir mon mal de ces quelques sanglots silencieux ?Je ne sais plus comment réagir, Dominura. Et je suis fatiguée, épuisée. Tendue et angoissée de nos rapports, de mon travail. Tu ne peux pas savoir à quel point ~ Je crois devenir besoin de t’en Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Dim 10 Jan - 2050 Suite à ses paroles, Dominura n'avait pas hésité à laisser son aimée derrière elle, bien qu'elle la respectait toujours autant. Il fallait juste... Qu'elle ailles ailleurs. Qu'elle prenne l'air, alors qu'elle ne supportait plus les sarcasmes de Ludmila. Comment osait-elle lui laisser entendre de pareilles choses ? Ahhhh ! Quelle haine ! N'avait-elle donc pas le droit d'être heureuse d'avoir croisé quelqu'un d'exceptionnel ? N'avait-elle pas le droit de laisser voir à sa conjointe que cela lui plaisait d'être ici ?Qu'avait-elle, comme problème, au juste ?Putain de jalousie. Oui, c'était sans doutes cela, et maintenant tout se faisait plus clair dans l'esprit de la grande femme tandis qu'elle songeait à cette option, sortant du couloir pour rejoindre l'exterieur et le froid. Une fois devant les marches menant au bâtiment, l'Illustratrice regarda autour d'elle, poussant un profond soupir. Fumer ? Oh, elle n'en avait pas bien envie, au final. Elle aurait bien pu accompagner Ludmila si cette dernière était restée à ses côtés, mais seule... Cela ne lui disait plus rien, et encore moins maintenant que sa gorge s'était coincée de stress, de rancoeur et de cela allait-il se résoudre ?Elle n'en savait moins avait-elle dit l'essentiel, au moins avait-elle été franche et n'avait rien caché à sa conjointe, lui laissant entendre pour une fois absolument tout ce qui lui passait en tête et qui avait le mérite de pouvoir être dit sans trop de culpabilité. Ludmila, Ludmila. Petit chat. Que t'arrives-t-il ? Ou que nous arrivest-t-il ? Nous ne sommes pas nous même. Nous ne sommes plus telles que nous nous sommes connues. Nous souffrons, et laissons voir, comprendre, notre souffrance à l'autre. Mais cela est mal. Cela est terriblement malsain. Pourquoi ne pas le laisser entendre par des mots, pourquoi ne pas nous expliquer, nous confondre, nous entraider ? Non, il faut toujours que l'une de nous deux bouffe littéralement l'autre, et que cela se termine sur de mauvaises pentes, endurcies de fuel et de ne veux plus être en de si mauvais rapports avec comme je t'aime ?Et j'ai t'aimes-je toi donc ? Que trouves-tu de mal à cette femme, Grace. Pourquoi l'as-tu toujours dans cette optique négative ? Parce que je la regarde ? Parce que je suis interessée par ce qu'elle dit ? Parce que je tente quelques rapprochements purement mentaux, de loin, avec cette personne ? Certes tu ne comprends pas mon comportement Celui-là que tu vois à me regarder être intriguée par les sciences, qui jusqu'alors ne m'avaient jamais interessée. Mais alors ? Est-ce clairement une raison pour tout tourner ainsi ? Tu ne me dis rien, Ludmila. Je t'ai repproché, l'autre jour, de me parler sans cesse de Meredith. Je te l'ai dit, tu n'as pas voulu l' moi, je serais prête à entendre, si tu avais des choses à me tu n'as rienQue tu voudrais me direOu alors, peut-être es-tu trop lâche pour le l'on tourne en rond, et l'on tourne en peur de mes réactions ?J'en viens à appréhender les il ne faut pas que nous nous conditionnons dans cette crainte respective, il ne faut pas que la gêne, que le doute, empiète sur nos vies. Je ne pourrai pas le supporter. Il faut que l'on parle. Il faut que nous conversions, à ces sujets-là. Mais la communication est si ne pourrons pas aller plus loinTant que nos esprits n'en seront pas venus à accepter la vérité des sur le rebord d'une murette qui se trouvait non loin de là, Dominura laissa alors son regard se perdre dans le vague, songeuse, perdue, machonnant son chewing-gum à la menthe sans réelle motivation. Avait-elle bien fait d'emmener Ludmila avec elle ? Non, sans doutes pas. Sans doutes aurait-elle mieux fait de la laisser travailler, comme elle le voulait initialement. Elle avait été bête. Si bête. Et maintenant le regretteraient-elles peut-être toutes les je suis prête à te pardonner tes élans, Ludmila. Je le serais, car je comprends ce que tu as pu penser, toi. Voudras-tu bien m'excuser, de t'avoir laissé entendre mes paroles ainsi ?Pardonne-moi, été emportée par cette rage indescriptibleEt pourtant, je ne le voulais pas je ne le voulais pas tant....Pas si loin de cette scène absolument navrante se trouvait Ludmila, qui, après être sortie et avoir jeté un simple regard à sa conjointe, s'était dépêchée de s'en éloigner, plaçant une cigarette entre ses lèvres fines, l'allumant, tout en allant s'asseoir sur l'un des bancs en pierre qui se trouvait collé contre un des immenses murs du grand bâtiment. Oh, il n'y avait pas grand monde dans les environs, la plupart des gens restant plutôt à l'interieur, ou tous regroupés vers le côté opposé, voire carrément devant la porte d'entrée. Ludmila pouvait ainsi demeurer seule, au calme, avec sa peine et ses haines, avec sa tristesse et ses Seule ?Point tout à fait, comme vous pouvez bien vous en donc, quelques minutes plus tôt, les avait croisés, sans pourtant y prêter attention ?Vous l'aurez deviné. La scientifique, Grace Sidnëather, venait de sortir du bâtiment, en tout naturel, faisant deux trois signes de main aux personnes qui la saluaient, avant de s'écarter un peu du reste de la foule, avec l'heureuse chance de n'avoir croisé personne voulant lui tenir la jambe. Tranquille, elle ne manqua pas de ressortir la cigarette que son collègue lui avait apporté à sa sortie de la conférence, mais au moment de l'allumer, elle se rendit compte qu'elle n'avait pas de briquet."Eh merde !"Regard à droite, regard à gauche, dans son plus profond naturel. Lorsqu'elle vit Ludmila sur son banc, comme une pauvre petite malheureuse, elle ne capta pas immédiatement ses larmes, qui n'avaient vraisemblablement pas lieu d'être. Amusante coincidence, que la seule personne fumant dans les environs soit cette tête blonde que Grace avait d'ores et déjà croisé deux fois en moins de deux heures et calant juste devant Ludmila, attendant qu'elle relève la tête, Grace dégagea les cheveux de son visage en un mouvement sec, puis, haussant les sourcils, un léger sourire au coin des lèvres, terriblement humaine, elle laissa entendre, d'une voix entre douceur et amusement, voyant bien, maintenant, que quelque chose n'allait pas chez la jeune russe"Eh bien mademoiselle, ce n'est pas vraiment le genre d'expressions que cette conférence est sencée engager"Une voix profonde, de rire, ni même de moquerie, seulement un élan de compassion certain, seulement une attention quelconque, exterieure, juste ressourçante. Simplement ressourçante. Absolument rien de Grace pouvait bien être impliquée dans l'affaire qu'elle n'en savait absolument rien, et que cela ne l'empêchait pas de laisser ses pulsions anthropologues et de bonne aise sociale engager un lien positif avec la personne qu'elle venait de harponner, dans le but pourtant initial de simplement lui demander du feu. On ne changeait pas les bonnes attentions d'une personne comme elle, surtout lorsque l'on savait que toute demande devait evidemment être accompagnée du respect de l'autre et de sa le propos se plaça tout de même,Grace ne désirant absolument pas, en son fait, mettre Ludmila mal à l'aise pour quelque parole que ce soit"Vous n'auriez pas du feu ?"Désignant sa cigarette qu'elle tenait dans entre deux doigts, elle haussa les sourcils, un léger sourire au coin des lèvres, comme pour souligner le fait que si Ludmila ne voulait pas lui donner du feu, elle serait bien dans la merde pour ce qui était d'engager sa pause clope avant de reprendre la sensible mais forte à la fois, Naturelle, humaine, et tout simplement très distancée des prises de têtes entre les Hommes,Grace était làTout simplement là,Et au loin Dominura ne connaissait pas encore le malheur de la savoir en compagnie de sa conjointe.~LudmilaSi tu savaisComme je t'envieSi tu savaisComme je te haisTout comme je t'aime. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Lun 11 Jan - 2250 Comment se sortir de cette situation détestable ? Comment mettre de côté la jalousie, et faire plus confiance ? Oh, cela n’était sans doute pas le problème, au fond. Ludmila avait confiance en sa conjointe, et ne doutait absolument pas de son amour pour elle. Pourtant, elle ne supportait pas de la voir sourire ainsi, s’émerveiller pour une femme qui n’était pas elle. Que voulait-elle de plus ? Tout. Toute l’attention de Dominura, pour elle. Que personne ne s’approche d’elle, tant physiquement que mentalement. Et qu’elle n’approche personne. La garder prisonnière des regards, des gestes et des songes. La protéger de tout contact, et la garder à elle, la laisser ensuite seule pendant des jours ?Tu es égoïste, Ludmila. Et stupide. Il est impossible de garder qui que ce soit ainsi à soi, n’est-ce pas ? Impossible de la priver du contact des autres. Impossible de rester sereine et heureuse, en ces la jeune Russe le savait bien, au fond. Et son propre comportement l’étonnait, tandis que les mots de sa belle lui revenaient en tête, frappant sa conscience et ses émotions Il fallait qu’elle arrête. Il fallait qu’elle arrête tout, et tente de se raisonner, définitivement. Grace n’était rien de plus qu’une scientifique à laquelle Dominura s’intéressait, uniquement pour ses connaissances. Elle n’avait rien à lui envier, pas vrai ?Mais je suis fatiguée, mon de ce travail qui m’a été offert. Peut-être avais-tu finalement raison, en songeant que cela serait bien trop difficile à gérer pour moi ? Je ne m’en sens pas incapable. Ce qui est dur, Trésor, est de ne plus avoir assez de temps pour toi. Je souffre de passer ma vie au DefrawayS, à tes dépends. Je souffre de te faire payer mes craintes, par ces sautes d’humeur exagérées. J’ai toujours été impulsive ~ Mais à ce point ? Je n’aurai jamais dû postuler. Jamais je ne voudrai te perdre pour un maintenant, c’est trop tard. Ne serais-ce pas faire preuve de faiblesse, que de tout abandonner ainsi ? Je ne ferai jamais ça, Dominura. Je ne me remettrai pas de gâcher une telle opportunité pour ma carrière, simplement pour tenter d’arranger les choses entre nous, sans garantie de résultat. Et pourtant, comme j’aimerai que tout aille mieux. Je voudrai te prendre dans mes bras, encore, et te murmurer à l’oreille à quel point je t’ ne t’en veux pas, pour tout ce que tu as pu me dire. Je sais, au fond, que tu n’as pas tout à fait tors. Je ne dis rien, et n’accepte aucuns oui ? Mais c’est faux, Dominura ! J’ai pris en compte ta peine à voir que je parlais bien trop de Meredith. Je t’ai entendu, et ai réagis à cela. Je me suis certes braquée, mais cela ne veut pas dire que je ne ferai pas d’efforts. Et si je ne te dis rien, c’est qu’il n’y a rien à dire ! Te reprocher ouvertement d’être heureuse à la simple vue de cette femme ? Hors de question. Je ne veux pas. Je ne peux pas faire sur un banc de pierres, donc, Ludmila ne pu se résoudre à regarder sa belle, laissant ses yeux passer sur la vue qu’elle pouvait avoir des diverses rues et bâtiments autours d’elle, les larmes perlant toujours amèrement le long de ses joues, rosis par le froid. Plus que les larmes elle-même, la jolie blonde fut bientôt prise de plus violents sanglots, ses nerfs lâchant totalement à force de fatigue et de conflits, souffrant d’en arriver là avec la femme qu’elle aimait. Combien de temps cela allait-il encore durer ?! Depuis son arrivée ici, la jeune Russe se sentait devenir complètement folle, perdant de son intégrité pour adopter des attitudes qui ne lui ressemblaient pas. Oh, elle pouvait bien se montrer hypocrite et sarcastique … Mais vis-à-vis de Dominura ? Cela lui semblait absolument ridicule. Pourtant, comment faire autrement, avec cette fascination de la part de son aimée ?Tu me rends me me t’aime trop, Dominura. Et si mes larmes coulent, ça n’est pas un caprice. Je n’aurai jamais dû venir ici. Je n’aurai jamais dû te rejoindre. Et je n’aurai surtout jamais dû fouiller dans ton ordinateur, n’est-ce pas ? Je ne pense plus qu’à ça, lorsque je pense à toi. J’ai tant de mal à mettre Grace et ma jalousie de côté. Tant de mal à accepter que tu puisses l’admirer de la sorte, tandis que tu n’es plus capable d’être assez patiente et attentive à mon égard pour comprendre que je n’agis pas ainsi par simple désir de te vais mal, et tu t’en ne penses qu’à me reprocher ce ne penses qu’à m’en vouloir de mes sarcasmes, sans te rendre compte que je ne les contrôle pas, tant j’ai mal, tant j’ai peur. Grace n’a finalement rien à voir là-dedans, pas vrai ?J’ai besoin que tu me rassures.…TacTacTac ?Ludmila leva les yeux lorsqu’une ombre vint passer au dessus d’elle, sentant tout d’abord ce parfum qu’il lui semblait reconnaître. Grace ? Se redressant quelques peu, ses lèvres s’entrouvrant doucement sous la surprise – ni positive, ni négative – la jeune Russe fronça légèrement les sourcils, un instant, aux premières paroles prononcés par la femme face à elle. Eh bien mademoiselle, ce n'est pas vraiment le genre d'expressions que cette conférence est sensée engager »Qu-Quoi ?!Pinçant légèrement ses lèvres entre elles, hésitant entre hurler sur Grace pour la faire partir – et se taire par la même occasion – ou tenter de retrouver son calme et de s’intéresser objectivement à cette femme, Ludmila resta un instant silencieuse, prenant sur elle au possible. Puis, réalisant que ses joues étaient couvertes de larmes, la jeune femme les balaya d’un revers de main, fermant une seconde les yeux, bien décidée à ne pas se montrer des plus désagréables envers cette femme qui n’avait finalement rien un rire néanmoins légèrement sarcastique, Ludmila laissa alors entendre - Aah … un coup d’œil à Dominura, sentant son cœur s’emballer plus violemment dans sa poitrine, la jolie blonde se demanda finalement ce que cette femme lui voulait, alors même que ça n’était certainement pas elle qui avait l’envie de la rencontrer. Oh, certes, Ludmila ne niait pas le calme et le naturel agréables de Grace. Sans doute était-elle-même le genre de femme qu’il lui aurait été possible d’apprécier, en d’autres circonstances. Mais là ? Toutes ses pensées allaient faire sa conjointe qui – elle – aurait sans doute adoré se retrouver là à sa place. Vous n'auriez pas du feu ? »Presque automatiquement, sans vraiment se préoccuper de Grace pour elle-même, Ludmila fouilla rapidement dans la poche de sa veste et en sortie du feu, lui tendant en toute simplicité. Au fond, rencontrer cette femme lui était égal. La seul chose qui lui passait actuellement par la tête était le fait que – sans doute – Dominura serait heureuse de pouvoir l’approcher de si près, voir lui accorder quelques mots. Et si la jalousie était toujours bien présente, la jeune Russe n’était néanmoins pas indifférente à l’idée que quelque chose puisse faire plaisir à la charmante illustratrice qui ne se trouvait finalement pas si loin que regard se posant à nouveau sur son aimée, plus loin, Ludmila fût alors parcourut d’un frisson compulsif, tant de froid que d’angoisse, tandis qu’elle cherchait à attirer le regard de sa belle. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle désirait qu’elle la rejoigne, là, et puisse rencontre Grace, au moins le temps que cette dernière ne fume sa cigarette. Portant la sienne à sa bouche – et ne manquant pas de lancer de temps à autre quelques regards insistants à sa conjointe – Ludmila se redressa jusqu’à se lever complètement de ce banc, grelottant sur place dans cette robe qui ne couvrait pas ses calme, plus ouverte sans doute, la jolie blonde n’eut néanmoins rien à dire à cette scientifique, sa gorge restant nouée suite aux reproches de la femme qu’elle aimait, ne pouvant supporter son absence auprès d’elle en cet instant. Ainsi, sortant rapidement son portable de sa poche après quelques secondes, Ludmila envoya rapidement un message à sa belle, avant de le ranger, adressant un sourire calme bien que relativement gêné à Grace - Excusez-moi …~TapTapTap. Viens ... » Message Envoyé - Dominura.~Ne me laisses pas avec avant que je ne songe à nouveau à vouloir me débarrasser d’ si cela peut te faire plaisir de la rencontrer. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Who suspect they could never love anyone ~ [PV Dominura] Mar 12 Jan - 128 La grande femme demeurait ainsi sur les marches de l'issue de derrière, éloignée des groupes tout comme de sa conjointe. Tournée à un moment critique, elle n'avait pas pu voir la sortie de celle qu'elle admirait tant, Grace étant passée à ses côtés a peine quelques instants plus tôt afin d'aller fumer sa cigarette en paix, ne manquant pas au passage de rejoindre Ludmila pour lui demander du feu. Ainsi, même alors que Ludmila relevait la tête vers la scientifique, l'Illustratrice, bien emprisonnée dans ses pensées, ne pensa pas à relever la tête ni l'engluement de ses pendant ce temps, avait eu l'élan de laisser entendre quelques mots à Ludmila. Etant donné la situation, et en ayant vu de bien pires que celles-ci par le passé, elle ne douta pas un instant qu'elle puisse se faire renvoyer sur les roses. Mais après tout, que lui importait-il ? Pas grand chose, au final. Si la jeune blonde n'avait pas envie de parler, ou pire, de lui rire au nez, cela était bien son problème mais elle ne s'en formaliserait pas bien. Ainsi haussa t-elle seulement ses fins sourcils roux lorsque la charmante russe lui laissa entendre un rire étouffé mais non moins sarcastique, avant de répondre son oui peu profonde, quoiqu'elle ne manqua pas de demeurer purement ouverte, avant de demander si elle avait du pour elle, Ludmila disposait en effet d'un briquet, qu'elle sortit rapidement de sa poche, sans un les gens qui ne parlaient pas, elle en avait bien l'habitude. Ainsi attrappa t'elle l'objet avec un sourire, calant sa cigarette entre ses lèvres, laissant entendre un étouffé mais non moins senti"Merci beaucoup"Frtchh frtcjhh FrrrrhhhhHEt la cigarette fut rallumée, une bouffée tirée, et le briquet rendu à Ludmila, dans un geste des plus naturels, sans aucune gêne, aucune hésitation, pas même une once de mise mal à l'aise par la situation quelque peu tendue. Le fait pour lequel son interlocutrice était parfaitement tendue ne la regardait pas tellement, et bien qu'elle soit absolument curieuse, la grande femme s'était bien gardée de lui demander quoi que soit, tirant seulement à nouveau sur sa cigarette tout en jetant un regard autour d'elle, comme se ressourçant un instant de son environnement plutôt frais moins agréable, bien soirée, au final. Un ciel avec si peu de nuages, et, mieux encore, des étoiles, et une lune bien visible. Que demander de plus pour une parfaite sereinité ?Grace, continuant sa cigarette, haussa les sourcils d'un air amusé, pour elle-même, en voyant les regards insistants de Ludmila pour la femme en vert assise sur les marches, un peu plus loin. Apparemment, une certaine insistance. Presque une détresse ? Oh, elle n'en était peut-être pas tout à fait là. Mais tout de même... Les réactions de la belle blonde ne manquaient pas de se faire sentir, et la scientifique faillit même laisser la jeune femme à son état, pour faire quelques pas de côté et la laisser tranquille maintenant qu'elle avait son la vingtenaire fut plus rapide qu'elle En deux temps trois mouvements, elle avait dégainé son portable, envoyé quelques mots puis l'avait refermé, et enfin rangé, avant de se tourner vers elle, lui sourire, parfaitement calme, tout en s' sourire ?Des excuses ?A la vue et l'entente de ce curieux évènement, Grace haussa à nouveau les sourcils, un coin de sourire passant alors à nouveau sur son visage, alors que deux doigts se refermaient sur sa cigarette, l'extrayant nochalamment mais non moins gracieusement d'entre ses lèvres, avant qu'elle ne souffle sa fumée paresseusement et réponde,

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